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Les arbres ou comment retrouver le chemin de nos ancêtres
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Les arbres ou comment retrouver le chemin de nos ancêtres
Retrouver le chemin de nos ancêtres
Nous respirons plusieurs fois par minutes. Les arbres eux, inspirent au printemps, et expirent en automne. Ils vivent dans d’autres espaces-temps que nous, et pourtant nous accompagnent depuis des centaines de milliers d’années.
Quelle vie intérieure ont-ils ? Comment nous voient-ils ?
A la vue d’un arbre majestueux, de nombreuses questions peuvent apparaître dans nos cœurs émerveillés.
Pendant des centaines de milliers d’années, les hommes ont communiqué librement avec les arbres. Leur sagesse et leurs pouvoirs de guérison ont toujours été célébrés par toutes les cultures du monde. Si les hommes ont changé, les arbres, eux, attendent patiemment que nous nous éveillions…
Hier et aujourd’hui
Ce n’est que récemment que l’on a mis des arbres en cage, dans les villes. Pour nous rassurer, on affirme qu’il y a plus de forêts en France aujourd’hui qu’il y a trois cents ans.
Notre pays ressemble à un joli patchwork de champs et de haies, de bois et de forêts, brillants de mille verts au printemps. Ça et là des clochers reliés par des rubans de route, ponctuent le paysage idéal. Mais remontons le temps…disons de deux milles ans.
L’Europe entière est recouverte d’une forêt épaisse et ininterrompue. De la Sibérie au Portugal, de l’Irlande à la Turquie, les sommets touffus de chênes, d’Ormes et de pins millénaires tapissent le paysage, percé seulement de clairières d’où s’échappent un peu de fumée. Là vivaient nos « indigènes » d’ancêtres, de quelques centaines à quelques milliers, avec un chef, des hommes-médecine, des chamans, des guerriers, des chasseurs, des cultivateurs…tout ce qu’aujourd’hui on regarde à la télévision, lors de reportages en Amazonie ou en Afrique. Notre monde tout entier était comme cela !
Nous vivions en union avec les forces de la Nature, libres, naturels et intenses. Ce contact intime permanent nous poussait à cultiver une connaissance très poussée des forces naturelles, afin de composer avec elles, d’en détecter les moindres signes et humeurs. Notre vie dépendait de notre capacité à contacter l’âme de la nature. Cela engendrait toute une culture d’histoires, de contes et légendes dont le symbolisme nous est assez difficile à comprendre aujourd’hui. Certaines pratiques chamaniques ont perduré jusqu’à aujourd’hui, pour la plupart sous forme de folklore, de traditions ou de superstitions.
L’arbre cosmique
On peut lire l’histoire d’Odin, le grand dieu nordique, qui a passé neuf jours en haut d’un arbre, dans la concentration intense, sans manger ni boire. Il finit par voyager dans le ciel. Il vit alors un arbre géant si grand que ses branches emplissaient le monde entier. Il servait d’axe au monde : les racines portaient la terre, le tronc le monde terrestre, et les branches emplissaient le ciel.
L’arbre est le gardien de la plus profonde sagesse, de nos espoirs les plus hauts.
Cette histoire, qui est une poussière de la riche tradition orale européenne, résume bien le genre d’expérience spirituelle que chacun pouvait faire en communion avec le monde naturel.
L’enseignement qui en découle n’est pas dogmatique, il est libre car provient directement des perceptions intérieures de chacun. Cette religiosité libre est l’ennemi juré des religions mortes, qui fondent leur pouvoir sur la peur, l’ignorance et l’asservissement.
L’église interdit donc la communication avec les forces naturelles pour lire le futur ou guérir. Les arbres guérisseurs furent abattus, les sources magiques ont été bouchées ou dédiées à la Vierge.
Les cercles d’arbres ou de pierres sacrées ont été interdits, et ces puissants réservoirs de mémoire akashique ont sombré dans l’oubli…jusqu’à aujourd’hui.
Partout dans le monde occidental, un puissant appel se fait entendre à l’intérieur des cœurs. Un appel à la nature, à la vie simple et vraie. Ce sont nos ancêtres qui nous parlent, du plus profond de la nuit des temps. Il est temps de répondre à cet appel, de prendre notre courage à deux mains et de donner une chance à cet écho.
Nos ancêtres vénéraient les arbres. Chaque espèce avait son caractère, ses particularités, ses rituels propres. Chaque type d’arbre était une divinité avec laquelle il était possible d’entrer en contact pour recevoir forces, conseils, guidance.
La communication énergétique
D’après les dernières découvertes scientifiques, plus de 80% de nos communications sont non-verbales. Cela signifie que nos attitudes, nos pensées, nos émanations énergétiques sont plus importantes que les mots. C’est cette manière d’échanger les informations qui est utilisée par les chamans du monde entier, mais aussi par de plus en plus de personne spirituelles.
Dans un parc, un jardin, un bois, une forêt, ou même en pleine ville, des arbres cherchent à nous parler, à échanger avec nous.
Il ne s’agit pas forcément de longs discours, ou même de mots. Le plus souvent, une profonde sensation de calme, d’amour, d’énergie nous envahit. En échange, donnez-leur votre gratitude, votre encouragement et vos pensées les plus belles.
Oui, l’énergie des arbres est partout présente, et nous nettoie, nous guérit, nous équilibre, nous relie à la terre et au ciel. Parfois, une intuition, une idée forte peut surgir lors d’un contact conscient avec un arbre. Un rêve guérisseur, une rencontre attendue…tout peut arriver à qui s’ouvre aux arbres.
La mémoire des arbres
Un arbre centenaire vous paraît sûrement vénérable n’est-ce pas ? Pourtant, c’est l’âge auquel il parvient à maturité spirituelle. Il est comparable à un jeune adulte. A partir de l’an mille, une déforestation systématique a détruit les mémoires vivantes de chênes millénaires qui étaient les gardiens de grands secrets.
A travers les âges, les druides leur avaient confié les plus grands trésors de sagesse, et grâce à des opérations "magiques", leur avaient attaché des entités psychiques créées spécialement pour conserver les "archives" spirituelles.
Il existe encore de nos jours quelques arbres héritiers de cette ancienne pratique. Ils ont au moins quatre siècles d’existence. Si vous avez la chance de voir un tel être, prenez le temps de méditer à son pied, et n’oubliez pas de faire une prière pour que sa vie soit longue et prospère. Il vous en sera reconnaissant et vous donnera sans doute en échange une bénédiction, un don, un rêve guérissant vos mémoires émotionnelles. Il se peut même que vous ayez des visions de ces temps anciens dont ces arbres se souviennent.
L’arbre guérisseur
Comment le choisir ?
L’arbre est guérisseur, de par sa structure même : les racines dans la terre, les branches vers le ciel, il fait circuler les forces et les équilibre. A son contact, tout en nous peut s’harmoniser dans la douceur. Mais il faut bien reconnaître que certains sont plus "forts" que d’autres, voire carrément "magiques".
Un arbre guérisseur est très souvent droit, équilibré, dégagé de tout buisson. L’impression générale qu’il dégage est sereine mais puissant, douce mais énergétique.
L’arbre guérisseur n’est pas forcément grand.
Il faut tout simplement vous rendre en forêt. Avec un esprit sacré et une marche d’être aimant la nature se fondant en harmonie avec elle et non en s’y aventurant en touriste profane… l’évolution spirituelle est une transmutation du mode de vie vers une harmonie et une hauteur de l’âme.
Le tout consiste simplement à trouver un arbre qui vous aille, avec lequel vous sentez une affinité particulièrement forte … les arbres parlent !!
Comment le contacter ?
Si vous vous sentez attiré par un arbre, c’est sans doute qu’il vous correspond. Il se peut tout à fait que certains vous attirent à un moment donné, puis plus du tout. C’est tout à fait normal, cela veut dire que l’arbre a fini son travail sur vous.
En s’approchant de lui soyez calme et doux, et dès que vous approchez ses branches, vous entrez dans son aura immédiat : annoncez clairement votre intention (même par la pensée). Puis, commencez votre échange guérisseur.
Une fois votre échange fini, faites toujours une offrande à l’arbre pour le remercier de son travail de guérison sur vous. Cela peut-être une petite pierre, une fleur, une belle pensée de gratitude…Entourez-le de vos bras et ouvrez-lui votre cœur. Il est important de respecter cette loi d’échange d’énergie.
Comment échanger ses énergies avec lui ?
Si vous voulez vous débarrasser d’énergies lourdes, de douleurs, de tensions ou de toxines, l’automne et l’hiver sont les meilleurs moments. Unissez-vous à l’énergie d’endormissement qui emplit l’arbre en plaquant votre dos contre lui.
Imaginez toutes les énergies inutiles qui coulent vers la terre et sont dissoutes, guéries.
Si au contraire vous avez besoin de vitalité, d’élans, de force, le printemps et l’été sont plus indiqués. Placez-vous ventre contre l’arbre, en l’entourant de vos bras, et ressentez la joie, l’intense énergie qui parcourt cet arbre, jusque dans la moindre de ses feuilles.
Quelle que soit la saison, vous pouvez ensuite méditer à son pied, et laisser votre aura s’emplir des forces qui l’entourent. Il est conseillé aussi, si vous le pouvez, de faire ensuite quelques mouvements doux afin de faire circuler toutes ces forces dans toutes vos articulations.
Source
Lien du forum associé: La conscience du végétal
Nous respirons plusieurs fois par minutes. Les arbres eux, inspirent au printemps, et expirent en automne. Ils vivent dans d’autres espaces-temps que nous, et pourtant nous accompagnent depuis des centaines de milliers d’années.
Quelle vie intérieure ont-ils ? Comment nous voient-ils ?
A la vue d’un arbre majestueux, de nombreuses questions peuvent apparaître dans nos cœurs émerveillés.
Pendant des centaines de milliers d’années, les hommes ont communiqué librement avec les arbres. Leur sagesse et leurs pouvoirs de guérison ont toujours été célébrés par toutes les cultures du monde. Si les hommes ont changé, les arbres, eux, attendent patiemment que nous nous éveillions…
Hier et aujourd’hui
Ce n’est que récemment que l’on a mis des arbres en cage, dans les villes. Pour nous rassurer, on affirme qu’il y a plus de forêts en France aujourd’hui qu’il y a trois cents ans.
Notre pays ressemble à un joli patchwork de champs et de haies, de bois et de forêts, brillants de mille verts au printemps. Ça et là des clochers reliés par des rubans de route, ponctuent le paysage idéal. Mais remontons le temps…disons de deux milles ans.
L’Europe entière est recouverte d’une forêt épaisse et ininterrompue. De la Sibérie au Portugal, de l’Irlande à la Turquie, les sommets touffus de chênes, d’Ormes et de pins millénaires tapissent le paysage, percé seulement de clairières d’où s’échappent un peu de fumée. Là vivaient nos « indigènes » d’ancêtres, de quelques centaines à quelques milliers, avec un chef, des hommes-médecine, des chamans, des guerriers, des chasseurs, des cultivateurs…tout ce qu’aujourd’hui on regarde à la télévision, lors de reportages en Amazonie ou en Afrique. Notre monde tout entier était comme cela !
Nous vivions en union avec les forces de la Nature, libres, naturels et intenses. Ce contact intime permanent nous poussait à cultiver une connaissance très poussée des forces naturelles, afin de composer avec elles, d’en détecter les moindres signes et humeurs. Notre vie dépendait de notre capacité à contacter l’âme de la nature. Cela engendrait toute une culture d’histoires, de contes et légendes dont le symbolisme nous est assez difficile à comprendre aujourd’hui. Certaines pratiques chamaniques ont perduré jusqu’à aujourd’hui, pour la plupart sous forme de folklore, de traditions ou de superstitions.
L’arbre cosmique
On peut lire l’histoire d’Odin, le grand dieu nordique, qui a passé neuf jours en haut d’un arbre, dans la concentration intense, sans manger ni boire. Il finit par voyager dans le ciel. Il vit alors un arbre géant si grand que ses branches emplissaient le monde entier. Il servait d’axe au monde : les racines portaient la terre, le tronc le monde terrestre, et les branches emplissaient le ciel.
L’arbre est le gardien de la plus profonde sagesse, de nos espoirs les plus hauts.
Cette histoire, qui est une poussière de la riche tradition orale européenne, résume bien le genre d’expérience spirituelle que chacun pouvait faire en communion avec le monde naturel.
L’enseignement qui en découle n’est pas dogmatique, il est libre car provient directement des perceptions intérieures de chacun. Cette religiosité libre est l’ennemi juré des religions mortes, qui fondent leur pouvoir sur la peur, l’ignorance et l’asservissement.
L’église interdit donc la communication avec les forces naturelles pour lire le futur ou guérir. Les arbres guérisseurs furent abattus, les sources magiques ont été bouchées ou dédiées à la Vierge.
Les cercles d’arbres ou de pierres sacrées ont été interdits, et ces puissants réservoirs de mémoire akashique ont sombré dans l’oubli…jusqu’à aujourd’hui.
Partout dans le monde occidental, un puissant appel se fait entendre à l’intérieur des cœurs. Un appel à la nature, à la vie simple et vraie. Ce sont nos ancêtres qui nous parlent, du plus profond de la nuit des temps. Il est temps de répondre à cet appel, de prendre notre courage à deux mains et de donner une chance à cet écho.
Nos ancêtres vénéraient les arbres. Chaque espèce avait son caractère, ses particularités, ses rituels propres. Chaque type d’arbre était une divinité avec laquelle il était possible d’entrer en contact pour recevoir forces, conseils, guidance.
La communication énergétique
D’après les dernières découvertes scientifiques, plus de 80% de nos communications sont non-verbales. Cela signifie que nos attitudes, nos pensées, nos émanations énergétiques sont plus importantes que les mots. C’est cette manière d’échanger les informations qui est utilisée par les chamans du monde entier, mais aussi par de plus en plus de personne spirituelles.
Dans un parc, un jardin, un bois, une forêt, ou même en pleine ville, des arbres cherchent à nous parler, à échanger avec nous.
Il ne s’agit pas forcément de longs discours, ou même de mots. Le plus souvent, une profonde sensation de calme, d’amour, d’énergie nous envahit. En échange, donnez-leur votre gratitude, votre encouragement et vos pensées les plus belles.
Oui, l’énergie des arbres est partout présente, et nous nettoie, nous guérit, nous équilibre, nous relie à la terre et au ciel. Parfois, une intuition, une idée forte peut surgir lors d’un contact conscient avec un arbre. Un rêve guérisseur, une rencontre attendue…tout peut arriver à qui s’ouvre aux arbres.
La mémoire des arbres
Un arbre centenaire vous paraît sûrement vénérable n’est-ce pas ? Pourtant, c’est l’âge auquel il parvient à maturité spirituelle. Il est comparable à un jeune adulte. A partir de l’an mille, une déforestation systématique a détruit les mémoires vivantes de chênes millénaires qui étaient les gardiens de grands secrets.
A travers les âges, les druides leur avaient confié les plus grands trésors de sagesse, et grâce à des opérations "magiques", leur avaient attaché des entités psychiques créées spécialement pour conserver les "archives" spirituelles.
Il existe encore de nos jours quelques arbres héritiers de cette ancienne pratique. Ils ont au moins quatre siècles d’existence. Si vous avez la chance de voir un tel être, prenez le temps de méditer à son pied, et n’oubliez pas de faire une prière pour que sa vie soit longue et prospère. Il vous en sera reconnaissant et vous donnera sans doute en échange une bénédiction, un don, un rêve guérissant vos mémoires émotionnelles. Il se peut même que vous ayez des visions de ces temps anciens dont ces arbres se souviennent.
L’arbre guérisseur
Comment le choisir ?
L’arbre est guérisseur, de par sa structure même : les racines dans la terre, les branches vers le ciel, il fait circuler les forces et les équilibre. A son contact, tout en nous peut s’harmoniser dans la douceur. Mais il faut bien reconnaître que certains sont plus "forts" que d’autres, voire carrément "magiques".
Un arbre guérisseur est très souvent droit, équilibré, dégagé de tout buisson. L’impression générale qu’il dégage est sereine mais puissant, douce mais énergétique.
L’arbre guérisseur n’est pas forcément grand.
Il faut tout simplement vous rendre en forêt. Avec un esprit sacré et une marche d’être aimant la nature se fondant en harmonie avec elle et non en s’y aventurant en touriste profane… l’évolution spirituelle est une transmutation du mode de vie vers une harmonie et une hauteur de l’âme.
Le tout consiste simplement à trouver un arbre qui vous aille, avec lequel vous sentez une affinité particulièrement forte … les arbres parlent !!
Comment le contacter ?
Si vous vous sentez attiré par un arbre, c’est sans doute qu’il vous correspond. Il se peut tout à fait que certains vous attirent à un moment donné, puis plus du tout. C’est tout à fait normal, cela veut dire que l’arbre a fini son travail sur vous.
En s’approchant de lui soyez calme et doux, et dès que vous approchez ses branches, vous entrez dans son aura immédiat : annoncez clairement votre intention (même par la pensée). Puis, commencez votre échange guérisseur.
Une fois votre échange fini, faites toujours une offrande à l’arbre pour le remercier de son travail de guérison sur vous. Cela peut-être une petite pierre, une fleur, une belle pensée de gratitude…Entourez-le de vos bras et ouvrez-lui votre cœur. Il est important de respecter cette loi d’échange d’énergie.
Comment échanger ses énergies avec lui ?
Si vous voulez vous débarrasser d’énergies lourdes, de douleurs, de tensions ou de toxines, l’automne et l’hiver sont les meilleurs moments. Unissez-vous à l’énergie d’endormissement qui emplit l’arbre en plaquant votre dos contre lui.
Imaginez toutes les énergies inutiles qui coulent vers la terre et sont dissoutes, guéries.
Si au contraire vous avez besoin de vitalité, d’élans, de force, le printemps et l’été sont plus indiqués. Placez-vous ventre contre l’arbre, en l’entourant de vos bras, et ressentez la joie, l’intense énergie qui parcourt cet arbre, jusque dans la moindre de ses feuilles.
Quelle que soit la saison, vous pouvez ensuite méditer à son pied, et laisser votre aura s’emplir des forces qui l’entourent. Il est conseillé aussi, si vous le pouvez, de faire ensuite quelques mouvements doux afin de faire circuler toutes ces forces dans toutes vos articulations.
Source
Lien du forum associé: La conscience du végétal
Re: Les arbres ou comment retrouver le chemin de nos ancêtres
Etre au service des plantes et non plus se servir d’elles comme de simples remèdes, permet un enseignement riche en découvertes ! Prendre conscience que chaque plante a un langage, qu’au delà de sa beauté, de ses vertus médicinales, de sa « réputation », elle est aussi et surtout un esprit qui demande à être connu et aimé en tant que tel... voilà ce que nous propose Katell Gut....
Tenter de reconnaître la signature d’une plante, demande ouverture d’esprit, concentration, de faire silence en soi, d’observer la plante et de l’accueillir à l’aide de nos cinq sens. Et aussi, d’éviter, dans un premier temps de la rencontre, de la nommer, de la juger belle ou pas, de la réduire à un usage thérapeutique connu, à des recettes du genre : c’est bon pour ceci ou pour cela, ou encore de la stigmatiser en la réduisant à un poison violent (cf souvenons nous que bien souvent ce sont des plantes dites vénéneuses qui sont à l’origine de grands remèdes homéopathiques.). La manière d’être qui convient pour vivre cette approche des plantes tient plus de la méditation, de la célébration, que du savoir du botaniste ou de l’herboriste. Lire la signature du pissenlit va nous amener à passer du « se servir de... » à la notion d’« être au service de... » et c’est la plante qui nous l’enseigne. Un rapport psychique s’instaure entre la plante et soi, quand on prend la peine d’une observation consciente et attentive.
Il est possible à tout un chacun de s’initier à cette sorte d’alphabet universel qui a été mis aux oubliettes et méprisé par les tenants de la pensée rationnelle dite scientifique, celle-ci a dominé dans les esprits depuis 2000 ans, préférant développer les compétences du cerveau gauche (intelligence analytique et spéculative, plus focalisée sur l’anatomie que sur la physiologie) au détriment du cerveau droit, et donc de l’équilibre interne et externe de l’être humain. Heureusement, les artistes, les chamans « de tous poils », les paysans d’autrefois amoureux de la terre et des « simples », ont su garder actif leur cerveau droit pour saisir de manière synthétique, globale, instantanée, ce que la réalité environnementale leur donnait à penser. Nos ancêtres, grâce à leur proximité de la nature savaient sans toujours en avoir conscience, se relier au monde végétal et à l’aide d’expérimentations culinaires ou autres, confirmer les impressions thérapeutiques que leur adressaient certaines plantes dites médicinales ; c’est ainsi que sont entrés dans le patrimoine culturel les remèdes dits de « bonne fame* » ; c’est ainsi que le docteur Edouard Bach a su découvrir des plantes, qui prises sous forme d’élixir floral, sont apaisantes pour des états d’âme perturbés.
Les trois clefs de la théorie des signatures : L’idée essentielle est de considérer l’être humain en tant qu’être vivant, qui participe à la nature, comme tous les êtres vivants, qu’ils se présentent sous forme minérale, végétale ou animale. L’homme témoigne par toutes ses cellules de l’appartenance au vivant et doit donc pouvoir tout naturellement se relier à ses « petites sœurs », les plantes curatives, comme disent si joliment les Amérindiens.
Dans une toute première impression, ressentir l’alternance ; selon Goethe, cela va nous permettre de prendre conscience du mouvement continu de la vie, qui conduit de la contraction ou dynamique centripète (manifeste dans les racines, les graines) à l’expansion ou dynamique centrifuge (manifeste dans la fleur, le fruit.), en passant par une phase intermédiaire d’échanges (manifeste dans la tige et les feuilles). Il est bon de ressentir ce processus en soi, comme une valse à trois temps, où ce qui se crispe, et se concentre, est suivi d’une phase intermédiaire, avant d’aller vers une expansion...Une plante est médicinale quand elle se caractérise excessivement dans un de ces processus et nous invite à ressentir une correspondance avec une fonction de notre propre physiologie, sachant que ce qui est dur, rétracté a à voir avec notre système nerveux( la pensée), ce qui échange, avec notre système rythmique et les échanges respiratoires ou cellulaires (le cœur, les émotions), et ce qui se dilate avec notre système métabolique( l’ agir).
Dans une deuxième impression, aller à la rencontre des correspondances entre la plante et nous, en s’appuyant sur la dynamique des 4 éléments, sachant que pouvoir maintenir les 4 dynamiques « feu, air, eau et terre » en équilibre en soi, est un gage de bonne santé.Chez l’être humain, le feu est en analogie avec sa digestion, sa fonction de reproduction, son métabolisme et son enthousiasme dans la vie ; une plante « feu » aura des couleurs chaudes, vives, une texture rêche, poilue, des feuilles ciselées, une odeur aromatique, comme par exemple l’ortie ou le millepertuis et les plantes aromatiques. Chez l’être humain, la vibration « terre » s’exprime dans ses os, le système nerveux, le catabolisme ; les plantes, qui ont une signature « terre » ont des tiges ou des fruits ligneux, des une texture froide et rigide, des formes en cloches, souvent retombantes, une odeur âcre, pénétrante, une saveur astringente, âpre, amer...comme chez les chénopodacées ( épinard, bette..) ou les plantes qui contiennent des alcaloïdes (bryone, belladone). La vibration « eau » se reconnaît dans l’homme au niveau de la lymphe, du sang, du liquide interstitiel (80% du poids total !) et la plante traduit sa signature « eau »par des couleurs pastels, argentées, verdâtres, des formes rondes ou ondulées, une texture fraîche, une odeur fade et une saveur insipide ou acidulée ; comme chez toutes les plantes qui poussent au bord de l’eau (sureau, aulne, saule...) L’air dans l’humain est vécu dans sa respiration pulmonaire et cellulaire ; la plante « air » aura des fleurs délicates, tendres, harmonieuses au couleurs variées et douces, des formes rayonnantes, aérées, volubiles, des feuilles fines, évoquant des plumes d’oiseaux, une odeur agréable souvent légère, comme dans la grande famille des ombellifères (carotte sauvage, achillée). Pour comprendre le troisième niveau de correspondances entre la plante et l’être humain, laissons une nouvelle fois la parole à Goethe, pour qu’il nous ouvre les portes du ciel, par son inspiration de poète et de philosophe quand il dit que les fleurs sont des étoiles tombées du ciel sur la terre, et allons à la rencontre des analogies entre les planètes et les plantes.
Les plantes et les planètes du système solaire. Chez l’humain, la dynamique « lune » se lit dans l’appareil uro-génital et dans son inconscient ; chez les plantes, elle s’exprime quand les racines ont des formes de bulbe (ail, oignon), les feuilles, des formes arrondies, des couleurs délavées, et quand l’ensemble donne une impression de stagnation, de caché et lent à se développer, souvent relié à l’eau, à ce qui est en gestation au sein de la « Terre-mère ».
- La planète « mercure » s’exprime dans les échanges et le mouvement ; les plantes sont grimpantes (chèvrefeuille), rampantes (lierre terrestre), des manières de liane (lierre, tamier). L’homme vit son « mercure » dans la respiration, les échanges à tous les niveaux.
- Les plantes reliées à « Venus » offrent des fleurs délicates aux parfums subtils et complexes, et la plus expressive d’entre elles est la rose ; elles donnent l’impression de s’offrir à la lumière (l’églantier, l’anémone, la pensée, le coquelicot...) le lien se fait au niveau de l’appareil uro-génital et de la sensibilité émotionnelle, notamment dans la forme du don , du désir de vivre et d’aimer.
- C’est dans le cœur, au centre de soi que s’exprime la dynamique solaire, elle renforce l’axe central de la personne et sa conscience d’être ; les plantes qui ont une tige bien érigée, une fleur au sommet qui est d’or et semble rayonner( tournesol, souci, millepertuis).
- La plante martienne a des épines, regarde dans toutes les directions, les abeilles la visitent pour butiner sont pollen abondant, elle traduit un élan vital et a des couleurs vives (ortie, asphodèle, bardane). Dans le corps, la vésicule biliaire a une affinité avec mars, et sur le plan psychique, mars dit l’envie d’agir et d’envahir.
- Jupiter est le grand architecte, qui signe la maturité, la générosité et l’abondance ; cette planète offre sa signature dans les ombellifères, la sauge, les arbres fruitiers ; et est traduite dans le corps au niveau du foie et de l’agir mais par le don. Pour aller au bout des correspondances, il faut chercher les analogies avec le maître du temps, qui gère les cycles de « vie-mort-vie », selon la formule de C.P. Estès, et venir à la rencontre de « saturne ». Les plantes saturniennes ont beaucoup de graines, avec des enveloppes sèches et dures ; elles ont des formes concentrées, repliées, dépouillées et sombres, des odeurs narcotiques, et s’expriment par le violet et le bleu nuit (campanule, vipérine, consoude, aconit). Saturne est relié chez l’être humain à la rate, aux os, et au système nerveux central ; dans la psyché, il délivre un message de retour sur soi et de capacité à ne retenir que l’essentiel dans la vie.
En conclusion, la théorie des signatures, par ce jeu de correspondances et d’affinités retrouvées, entre les plantes et nous via ces trois « clés », entraîne la personne sur un chemin de conscience. Là, en accord avec son environnement, qu’elle respecte, qu’elle aime parce qu’elle y perçoit des liens de parenté, elle se connecte à elle-même et devient naturellement l’être responsable, debout, « solaire » qu’elle est en réalité.
*de l’anglais « fame » : la gloire.
Source
Tenter de reconnaître la signature d’une plante, demande ouverture d’esprit, concentration, de faire silence en soi, d’observer la plante et de l’accueillir à l’aide de nos cinq sens. Et aussi, d’éviter, dans un premier temps de la rencontre, de la nommer, de la juger belle ou pas, de la réduire à un usage thérapeutique connu, à des recettes du genre : c’est bon pour ceci ou pour cela, ou encore de la stigmatiser en la réduisant à un poison violent (cf souvenons nous que bien souvent ce sont des plantes dites vénéneuses qui sont à l’origine de grands remèdes homéopathiques.). La manière d’être qui convient pour vivre cette approche des plantes tient plus de la méditation, de la célébration, que du savoir du botaniste ou de l’herboriste. Lire la signature du pissenlit va nous amener à passer du « se servir de... » à la notion d’« être au service de... » et c’est la plante qui nous l’enseigne. Un rapport psychique s’instaure entre la plante et soi, quand on prend la peine d’une observation consciente et attentive.
Il est possible à tout un chacun de s’initier à cette sorte d’alphabet universel qui a été mis aux oubliettes et méprisé par les tenants de la pensée rationnelle dite scientifique, celle-ci a dominé dans les esprits depuis 2000 ans, préférant développer les compétences du cerveau gauche (intelligence analytique et spéculative, plus focalisée sur l’anatomie que sur la physiologie) au détriment du cerveau droit, et donc de l’équilibre interne et externe de l’être humain. Heureusement, les artistes, les chamans « de tous poils », les paysans d’autrefois amoureux de la terre et des « simples », ont su garder actif leur cerveau droit pour saisir de manière synthétique, globale, instantanée, ce que la réalité environnementale leur donnait à penser. Nos ancêtres, grâce à leur proximité de la nature savaient sans toujours en avoir conscience, se relier au monde végétal et à l’aide d’expérimentations culinaires ou autres, confirmer les impressions thérapeutiques que leur adressaient certaines plantes dites médicinales ; c’est ainsi que sont entrés dans le patrimoine culturel les remèdes dits de « bonne fame* » ; c’est ainsi que le docteur Edouard Bach a su découvrir des plantes, qui prises sous forme d’élixir floral, sont apaisantes pour des états d’âme perturbés.
Les trois clefs de la théorie des signatures : L’idée essentielle est de considérer l’être humain en tant qu’être vivant, qui participe à la nature, comme tous les êtres vivants, qu’ils se présentent sous forme minérale, végétale ou animale. L’homme témoigne par toutes ses cellules de l’appartenance au vivant et doit donc pouvoir tout naturellement se relier à ses « petites sœurs », les plantes curatives, comme disent si joliment les Amérindiens.
Dans une toute première impression, ressentir l’alternance ; selon Goethe, cela va nous permettre de prendre conscience du mouvement continu de la vie, qui conduit de la contraction ou dynamique centripète (manifeste dans les racines, les graines) à l’expansion ou dynamique centrifuge (manifeste dans la fleur, le fruit.), en passant par une phase intermédiaire d’échanges (manifeste dans la tige et les feuilles). Il est bon de ressentir ce processus en soi, comme une valse à trois temps, où ce qui se crispe, et se concentre, est suivi d’une phase intermédiaire, avant d’aller vers une expansion...Une plante est médicinale quand elle se caractérise excessivement dans un de ces processus et nous invite à ressentir une correspondance avec une fonction de notre propre physiologie, sachant que ce qui est dur, rétracté a à voir avec notre système nerveux( la pensée), ce qui échange, avec notre système rythmique et les échanges respiratoires ou cellulaires (le cœur, les émotions), et ce qui se dilate avec notre système métabolique( l’ agir).
Dans une deuxième impression, aller à la rencontre des correspondances entre la plante et nous, en s’appuyant sur la dynamique des 4 éléments, sachant que pouvoir maintenir les 4 dynamiques « feu, air, eau et terre » en équilibre en soi, est un gage de bonne santé.Chez l’être humain, le feu est en analogie avec sa digestion, sa fonction de reproduction, son métabolisme et son enthousiasme dans la vie ; une plante « feu » aura des couleurs chaudes, vives, une texture rêche, poilue, des feuilles ciselées, une odeur aromatique, comme par exemple l’ortie ou le millepertuis et les plantes aromatiques. Chez l’être humain, la vibration « terre » s’exprime dans ses os, le système nerveux, le catabolisme ; les plantes, qui ont une signature « terre » ont des tiges ou des fruits ligneux, des une texture froide et rigide, des formes en cloches, souvent retombantes, une odeur âcre, pénétrante, une saveur astringente, âpre, amer...comme chez les chénopodacées ( épinard, bette..) ou les plantes qui contiennent des alcaloïdes (bryone, belladone). La vibration « eau » se reconnaît dans l’homme au niveau de la lymphe, du sang, du liquide interstitiel (80% du poids total !) et la plante traduit sa signature « eau »par des couleurs pastels, argentées, verdâtres, des formes rondes ou ondulées, une texture fraîche, une odeur fade et une saveur insipide ou acidulée ; comme chez toutes les plantes qui poussent au bord de l’eau (sureau, aulne, saule...) L’air dans l’humain est vécu dans sa respiration pulmonaire et cellulaire ; la plante « air » aura des fleurs délicates, tendres, harmonieuses au couleurs variées et douces, des formes rayonnantes, aérées, volubiles, des feuilles fines, évoquant des plumes d’oiseaux, une odeur agréable souvent légère, comme dans la grande famille des ombellifères (carotte sauvage, achillée). Pour comprendre le troisième niveau de correspondances entre la plante et l’être humain, laissons une nouvelle fois la parole à Goethe, pour qu’il nous ouvre les portes du ciel, par son inspiration de poète et de philosophe quand il dit que les fleurs sont des étoiles tombées du ciel sur la terre, et allons à la rencontre des analogies entre les planètes et les plantes.
Les plantes et les planètes du système solaire. Chez l’humain, la dynamique « lune » se lit dans l’appareil uro-génital et dans son inconscient ; chez les plantes, elle s’exprime quand les racines ont des formes de bulbe (ail, oignon), les feuilles, des formes arrondies, des couleurs délavées, et quand l’ensemble donne une impression de stagnation, de caché et lent à se développer, souvent relié à l’eau, à ce qui est en gestation au sein de la « Terre-mère ».
- La planète « mercure » s’exprime dans les échanges et le mouvement ; les plantes sont grimpantes (chèvrefeuille), rampantes (lierre terrestre), des manières de liane (lierre, tamier). L’homme vit son « mercure » dans la respiration, les échanges à tous les niveaux.
- Les plantes reliées à « Venus » offrent des fleurs délicates aux parfums subtils et complexes, et la plus expressive d’entre elles est la rose ; elles donnent l’impression de s’offrir à la lumière (l’églantier, l’anémone, la pensée, le coquelicot...) le lien se fait au niveau de l’appareil uro-génital et de la sensibilité émotionnelle, notamment dans la forme du don , du désir de vivre et d’aimer.
- C’est dans le cœur, au centre de soi que s’exprime la dynamique solaire, elle renforce l’axe central de la personne et sa conscience d’être ; les plantes qui ont une tige bien érigée, une fleur au sommet qui est d’or et semble rayonner( tournesol, souci, millepertuis).
- La plante martienne a des épines, regarde dans toutes les directions, les abeilles la visitent pour butiner sont pollen abondant, elle traduit un élan vital et a des couleurs vives (ortie, asphodèle, bardane). Dans le corps, la vésicule biliaire a une affinité avec mars, et sur le plan psychique, mars dit l’envie d’agir et d’envahir.
- Jupiter est le grand architecte, qui signe la maturité, la générosité et l’abondance ; cette planète offre sa signature dans les ombellifères, la sauge, les arbres fruitiers ; et est traduite dans le corps au niveau du foie et de l’agir mais par le don. Pour aller au bout des correspondances, il faut chercher les analogies avec le maître du temps, qui gère les cycles de « vie-mort-vie », selon la formule de C.P. Estès, et venir à la rencontre de « saturne ». Les plantes saturniennes ont beaucoup de graines, avec des enveloppes sèches et dures ; elles ont des formes concentrées, repliées, dépouillées et sombres, des odeurs narcotiques, et s’expriment par le violet et le bleu nuit (campanule, vipérine, consoude, aconit). Saturne est relié chez l’être humain à la rate, aux os, et au système nerveux central ; dans la psyché, il délivre un message de retour sur soi et de capacité à ne retenir que l’essentiel dans la vie.
En conclusion, la théorie des signatures, par ce jeu de correspondances et d’affinités retrouvées, entre les plantes et nous via ces trois « clés », entraîne la personne sur un chemin de conscience. Là, en accord avec son environnement, qu’elle respecte, qu’elle aime parce qu’elle y perçoit des liens de parenté, elle se connecte à elle-même et devient naturellement l’être responsable, debout, « solaire » qu’elle est en réalité.
*de l’anglais « fame » : la gloire.
Source
Re: Les arbres ou comment retrouver le chemin de nos ancêtres
Wahou...Super article, Topa...
Il m'a fait prendre conscience que la déforestation n'est pas qu'un problème d'environnement...Le "drame" a bien plus d'ampleur que cela.
Ca me rappelle un vieil arbre que je viens voir souvent, que j'ai appellé Grand-Mère Feuillage et que j'aime beaucoup. (Comment ça, je suis pas dans 3615 my life ? Lol)
Il m'a fait prendre conscience que la déforestation n'est pas qu'un problème d'environnement...Le "drame" a bien plus d'ampleur que cela.
Ca me rappelle un vieil arbre que je viens voir souvent, que j'ai appellé Grand-Mère Feuillage et que j'aime beaucoup. (Comment ça, je suis pas dans 3615 my life ? Lol)
Samuel Wz- Recherche de la maîtrise des énergies
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Pratiques magiques/ spiritualité : Je puise un peu à chaque source
Re: Les arbres ou comment retrouver le chemin de nos ancêtres
De rien, t'as le droit de raconter ta vie du moment que c'est en rapport avec la rubrique
Re: Les arbres ou comment retrouver le chemin de nos ancêtres
Après reflexion d'une soirée, j'ai une question :
La déforestation n'est-elle pas le signe que beaucoup d'âmes ont finis cette phase (végétale) d'évolution ? Puisqu'on ne peut pas mourir avant d'avoir terminé ce pourquoi on est incarné...(A moins d'un suicide, mais le suicide d'un arbre, me direz-vous... )
Si je ne me suis pas embrouillée, la déforestation est en fait naturelle, dans "l'odre des choses", et plus du tout dramatique.
Donc, l'évolution des âmes va forcément entraîner la fin de l'existence des arbres à un moment donné.
La déforestation n'est-elle pas le signe que beaucoup d'âmes ont finis cette phase (végétale) d'évolution ? Puisqu'on ne peut pas mourir avant d'avoir terminé ce pourquoi on est incarné...(A moins d'un suicide, mais le suicide d'un arbre, me direz-vous... )
Si je ne me suis pas embrouillée, la déforestation est en fait naturelle, dans "l'odre des choses", et plus du tout dramatique.
Donc, l'évolution des âmes va forcément entraîner la fin de l'existence des arbres à un moment donné.
Samuel Wz- Recherche de la maîtrise des énergies
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Pratiques magiques/ spiritualité : Je puise un peu à chaque source
Re: Les arbres ou comment retrouver le chemin de nos ancêtres
Je sais pas, mais la déforestation est avant tout le fait des hommes (mon avis), d'après un reportage dont on a parlé dans "programme télé" dans divers, il était dit que si l'homme venait tout à coup (sans raison précise car c'était pas le but du reportage) à disparaître, la nature reprendrait ses droits et la végétation (dont les arbres) envahirait la planète.
Donc je doute fortement que la déforestation soit le résultat de l'évolution "spirituelle" des arbres, mais plus de le fait des Hommes. Si on compare à l'évolution des Hommes il y en a qui ont fini leur parcours et pourtant il y a beaucoup d'Hommes sur la planète, seulement les Hommes ne peuvent pas être exterminés comme les arbres, bien que certains aient déjà essayé lol
Donc je doute fortement que la déforestation soit le résultat de l'évolution "spirituelle" des arbres, mais plus de le fait des Hommes. Si on compare à l'évolution des Hommes il y en a qui ont fini leur parcours et pourtant il y a beaucoup d'Hommes sur la planète, seulement les Hommes ne peuvent pas être exterminés comme les arbres, bien que certains aient déjà essayé lol
Re: Les arbres ou comment retrouver le chemin de nos ancêtres
topa a écrit:Je sais pas, mais la déforestation est avant tout le fait des hommes (mon avis)
[...]
Donc je doute fortement que la déforestation soit le résultat de l'évolution "spirituelle" des arbres, mais plus du fait des Hommes.
Ca revient à dire que l'homme peut contrer les lois d'évolution, du karma, etc...
Je ne sais pas...Ca me laisse perplexe...
Vous croyez que les bucherons grossissent leur dette karmike à chaque arbre coupé ?
Samuel Wz- Recherche de la maîtrise des énergies
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Pratiques magiques/ spiritualité : Je puise un peu à chaque source
Re: Les arbres ou comment retrouver le chemin de nos ancêtres
Ca revient à dire que l'homme peut contrer les lois d'évolution, du karma, etc...
Je ne sais pas...Ca me laisse perplexe...
lol non pas du tout.
Que tu dises que des arbres ont fini leur évolution ok, mais dire que la déforestation est du à cela pour moi je ne pense pas.
Après dire que parce que l'Homme détruit les arbres c'est qu'il a la capacité de contrer les lois d'évolution, je ne pense pas que les Hommes voient ça comme ça lol et je ne pense pas d'ailleurs que la grande partie d'entre eux réfléchissent à la notion de karma.
Dans ce cas là ça reviendrait aussi à dire que les fleuristes ou ceux qui coupent les plantes peuvent contrer les lois d'évolution si je vais dans ton sens. Quand je parle des Hommes, je parle de la globalité dont les actes ont donné ce résultat: moins d'arbres etc.
Je pense simplement que chacun individuellement est responsable de ses actes, après il faut voir pour quelles raisons les arbres ont été détruits, bonne ou mauvaise (voire inutile). Je pense que ce n'est pas pour rien qu'on demande à un arbre son autorisation de prendre un morceau de branche par exemple, idem pour tous les autres végétaux.
Ceux qui donnent les ordres de couper les arbres et ceux qui les coupent sans cette explication/autorisation de couper les végétaux, auront très probablement (de mon point de vue) des comptes à rendre surtout si c'est à grande échelle.
Enfin c'est difficile de traiter de ce sujet sans sombrer dans les explications incompréhensibles, merci à Hagel et/ou Orion de m'aiguiller ou de mieux exprimer ce que je veux dire ou alors de l'infirmer.
Re: Les arbres ou comment retrouver le chemin de nos ancêtres
Je pense que Topa a très bien répondu
après j'ai pas réfléchi à la question, il est assez logique d'avoir une dette karmique vu que c'est un être vivant, mais bon, on rentre dans les détails du karma, on peut voir par là aussi le fait d'utiliser une pierre en litothérapie comme un facteur de dette karmique
Quand à la déforestation et l'évolution, je ne pense pas...
Bien à toi
après j'ai pas réfléchi à la question, il est assez logique d'avoir une dette karmique vu que c'est un être vivant, mais bon, on rentre dans les détails du karma, on peut voir par là aussi le fait d'utiliser une pierre en litothérapie comme un facteur de dette karmique
Quand à la déforestation et l'évolution, je ne pense pas...
Bien à toi
Re: Les arbres ou comment retrouver le chemin de nos ancêtres
Merci pour vos explications...
Difficile de se sortir de ce genre de raisonnements vertigineux.
Difficile de se sortir de ce genre de raisonnements vertigineux.
Samuel Wz- Recherche de la maîtrise des énergies
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Pratiques magiques/ spiritualité : Je puise un peu à chaque source
Re: Les arbres ou comment retrouver le chemin de nos ancêtres
Oui en effet, ce sujet amène vers des débats beaucoup plus profonds qu'il est difficile de pouvoir bien développer.
Re: Les arbres ou comment retrouver le chemin de nos ancêtres
ah merci! Je me sentirai moins bête la prochaine fois que j'irai me perdre en forêt ;-)
jeayante sourcieure- Energie libre
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Pratiques magiques/ spiritualité : bébé médium qui apprend à marcher
Localisation : Réunion island
Re: Les arbres ou comment retrouver le chemin de nos ancêtres
Et bien moi , Topa , ton sujet m' a bien interpelé ... je réfléchis différemment en voyant un arbre , bien que même dans mes bras je n' ai pas eu de ressentis quels qu'ils soient ... je les regardent différemment et cherche leur beauté en les admirant et me demandant ce qu'ils pourraient bien me raconter si je pouvais communiquer avec eux ...
wally- Recherche de la maîtrise des énergies
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Pratiques magiques/ spiritualité : aucune
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