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résonance Schumann
2 participants
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résonance Schumann
Au fait j'ai lu sur la géobiologie la théorie (purement scientifique) du réseau Schuman, j'ai fait des recherches mais c'est un peu trop de la haute voltige pour moi avec la géodynamique et physique...mais il s'avère que cette théorie aurait des applications ésotériques considérables, elle est d'ailleurs peu connue dans le monde scientifique.
Tu connais?
Tu connais?
Re: résonance Schumann
J'ai divisé le sujet, parce que là c'est trop poussé pour être dans l'introduction lol.
Aka E- énergie libre
- Nombre de messages : 5507
Re: résonance Schumann
bon je viens de lire 2-3 trucs et voilà ce que j'en retire:
L’ionosphère est une région de l'atmosphère située entre la mésosphère et la magnétosphère, c'est-à-dire entre 60 et 800 km d'altitude. Elle est constituée de gaz fortement ionisé à très faible pression (entre 2×10-2 hPa et 1×10-8 hPa) et à haute température (-20 à +1 000 °C).
Description
La densité de l'air qui constitue l'atmosphère diminue à mesure que l'on s'éloigne de la surface du sol. À 60 km d'altitude, la pression de l'air n'est plus que de 2 Pa. Au-delà de 60 km, l'atmosphère n'agit plus guère comme filtre du rayonnement solaire et cosmique, les rayons ultraviolets et X sont de plus en plus agressifs et provoquent une ionisation des molécules de gaz (diazote, dioxygène...) de l'air en arrachant des électrons aux atomes les constituant. Parmi les molécules d'air se trouvent donc des ions positifs et des électrons libres.
Une ionisation très localisée et pendant une très courte durée peut être provoquée par les chutes de météorites.
Dans la partie basse de l'ionosphère, la densité de molécules d'air est encore élevée, les collisions entre électrons et ions sont fréquentes ; un électron peut retrouver rapidement un ion positif : la recombinaison est rapide. Dans les couches les plus hautes, la recombinaison est plus lente et l'ionisation ne diminue que lentement après que le rayonnement solaire s'interrompt avec le coucher du Soleil.
Étude de l'ionosphère
Le sondeur vertical est une sorte de radar dont la fréquence est variable entre 1 et 30 MHz. L'émetteur envoie des impulsions très brèves qui sont réfléchies à une altitude dépendant de la fréquence et de la densité électronique dans l'ionosphère. La mesure du temps séparant l'impulsion émise et la réception de l'écho permet de calculer l'altitude à laquelle s'est effectuée la réflexion. Le tracé de cette altitude en fonction de la fréquence est un ionogramme.
Depuis les années 1960, les satellites artificiels et sondes spatiales ont permis une meilleure compréhension in situ des phénomènes ionosphériques et les interactions avec la magnétosphère.
De plus, durant ces mêmes années s'est développée une nouvelle technique d'étude de l'ionosphère depuis le sol : la diffusion incohérente. Dans cette technique, une onde UHF (400 MHz à 1 GHz suivant les installations) de très forte puissance (plusieurs centaines de kW) est émise vers l'ionosphère où elle est diffusée dans toutes les directions par les électrons ionosphériques. La puissance reçue au sol en retour est très faible et nécessite de grandes antennes et un traitement du signal pour extraire les informations. Cette technique permet d'avoir accès à la composition de l'ionosphère, la température des ions, ainsi qu'aux vitesses de déplacement de ces ions ("vents ionosphériques"). Des sondeurs furent installés en France à Saint-Santin-de-Maurs avec trois récepteurs dont le radiotélescope de Nançay, en Grande-Bretagne à Malvern, aux États-Unis à Millstone Hill et Arecibo (Porto-Rico), au Pérou à Jicamarca, ainsi qu'en Russie. Les trois derniers ainsi qu'Eiscat, le sondeur européen implanté dans le Grand nord scandinave, sont toujours en activité.
Couches
On distingue généralement trois couches aux propriétés propres vis-à-vis de la propagation des ondes.
• Couche D : altitude de 60 à 90 km, pression 2 Pa, température -76 °C, densité électronique 104. Constituée d'ions polyatomiques. Absorbante pour les ondes de fréquence inférieure à quelques MHz, elle apparaît avec le lever du Soleil et disparaît immédiatement après le coucher de celui-ci.
• Couche E : altitude de 90 à 120 km, pression 0,01 Pa, température -50 °C, densité électronique 105. Constituée d'oxygène et monoxyde d'azote moléculaires ionisés et d'ions météoritiques. Diurne et présente tout au long du cycle solaire. Elle réfléchit les ondes de quelques MHz jusqu'à une fréquence limite qui dépend de l'angle d'incidence de l'onde sur la couche et de la densité de celle-ci. Au cours de l'été, en moyennes latitudes, apparaissent parfois pendant quelques dizaines de minutes, voire quelques heures, des « nuages » fortement ionisés dans la couche E (on parle de sporadique E ou Es)
• Couche F : altitude de 120 à 800 km, pression 1×10-4 Pa, température 1 000 °C, densité électronique 106. Constituée d'atomes d'oxygène, d'azote et d'hydrogène. Très dépendante de l'activité solaire, elle présente un niveau d'ionisation très important pendant les maxima du cycle solaire. Son altitude fluctue en fonction du rayonnement solaire ; la couche F se décompose pendant la journée en deux sous-couches F1 et F2. Ces deux sous-couches se recombinent la nuit plusieurs heures après le coucher du Soleil mais il arrive qu'elles persistent toute la nuit lors des maxima d'activité solaire. Comme pour la couche E, le rôle de la couche F est essentiel pour la propagation des ondes courtes.
Rayonnements solaires et mécanisme de création des couches
L'ionosphère n'est rien d'autre qu'un gaz ionisé, c'est-à-dire un plasma. Or la théorie nous apprend qu'un gaz remplit uniformément tout l'espace dont il dispose, alors pourquoi il y a-t-il des couches dans l'ionosphère ?
Pour comprendre le mécanisme de formation des couches, on est obligé de compliquer un peu les choses, ainsi l'ionosphère n'est pas un gaz mais une succession de couches de gaz dont la composition dépend de la pression atmosphérique. De plus, il n'y a pas un rayonnement solaire mais des rayonnements dont le spectre s'étend de l'infrarouge aux rayons X. N'oublions pas les jets de particules par le soleil qui arrivent parfois à pénétrer dans la couche D...
Les couches sont donc le fruit de l'interaction entre des gaz, des rayonnements non ionisants, des rayonnements ionisants et des particules.
Il faut déjà comprendre ça avant de pouvoir assimiler la suite
RESONANCES DE SCHUMANN
On sait qu'entre 80 et 640 kilomètres au-dessus de la croûte terrestre il y a une couche atmosphérique conductrice d'électricité qu'on appelle ionosphère parce qu'elle est ionisée par les rayons ultraviolets et les rayons X provenant du soleil et du cosmos. On sait aussi que la croûte terrestre, dont le noyau est majoritairement composé de fer, possède également une charge électrique. C'est entre ces deux espaces chargés électriquement que se trouve la biosphère où nous vivons.
On dit que la surface de la terre possède une charge électrique négative[1] qui attire les ions positifs de l'atmosphère[2], particulièrement lors des orages électriques. La décharge d'un éclair produit une onde électromagnétique qui résonne à la surface de la terre. Il y aurait près de 100 éclairs à chaque seconde produits par environ 2000 orages électriques autour du monde. Ces éclairs contribuent à maintenir des ondes électromagnétiques d'extrêmement basses fréquences (ELF, Extremely Low Frequency) sur la planète. Ce sont ces propriétés de résonance de la sphère terrestre que W. O. Schumann découvrit et mesure dans le milieu des années 50.
On sait que la fréquence se calcule en divisant la vitesse de la lumière (300'000 km par seconde) par une longueur appelée la longueur d'onde. Or, si on fait le calcul avec la circonférence de la terre qui est d'environ 40'000 km, on obtient une fréquence de 7,5 Hertz, tout près de la fréquence moyenne de 7,8 Hertz découverte par Schumann.
Les signaux rythmiques du corps humain
Tout comme la résonance de Schumann, les ondes cérébrales sont aussi des ondes de fréquence extrêmement basses (ELF). Plusieurs recherches ont confirmé des liens entre ces signaux rythmiques et la santé et le bien-être. Les fréquences auxquelles pulsent les neurones déterminent le type d'activité de notre cerveau.
On en rencontre quatre principaux types :
• Les ondes DELTA, entre 0 et 4 Hertz, sont présentes dans le sommeil très profond. On a observé que l'hormone de croissance (la mélatonine) est stimulée durant cette période de sommeil (le pic de sécrétion se situe aux environs de deux heures du matin), qui est bénéfique pour la guérison et la régénération
• Les ondes THETA, entre 4 et 7 Hertz, sont présentes dans le sommeil mais peuvent aussi être dominantes dans des états de méditation profonde. Elles sont associées aux rêves lucides, là où nous sommes réceptifs à des informations au-delà de notre conscience normale
• Les ondes ALPHA, entre 7 et 13 Hertz, sont présentes dans le rêve et dans la méditation légère quand les yeux sont fermés. Les ondes alpha pulsent à travers tout le cortex cérébral. La fréquence des ondes alpha est aussi la même que la fenêtre de fréquences de résonance des champs électromagnétiques de la terre
• Les ondes BETA, entre 13 et 40 Hertz, dominent l'état d'éveil lorsque notre attention est dirigée vers le monde extérieur et occupé à des tâches cognitives (de réflexion). Elles sont associées avec la concentration, l'acuité visuelle et un état attentif .
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ionosph%C3%A8re
http://www.bioelec.ch/rayonnements/resonance_schumann.html
Pour ce qui est des applications ésotériques, je verrai ça demain, là je tombe sur tout et n'importe quoi... Je pense qu'une fois les bases scientifiques comprises, ça sera plus simple de faire le tri.
L’ionosphère est une région de l'atmosphère située entre la mésosphère et la magnétosphère, c'est-à-dire entre 60 et 800 km d'altitude. Elle est constituée de gaz fortement ionisé à très faible pression (entre 2×10-2 hPa et 1×10-8 hPa) et à haute température (-20 à +1 000 °C).
Description
La densité de l'air qui constitue l'atmosphère diminue à mesure que l'on s'éloigne de la surface du sol. À 60 km d'altitude, la pression de l'air n'est plus que de 2 Pa. Au-delà de 60 km, l'atmosphère n'agit plus guère comme filtre du rayonnement solaire et cosmique, les rayons ultraviolets et X sont de plus en plus agressifs et provoquent une ionisation des molécules de gaz (diazote, dioxygène...) de l'air en arrachant des électrons aux atomes les constituant. Parmi les molécules d'air se trouvent donc des ions positifs et des électrons libres.
Une ionisation très localisée et pendant une très courte durée peut être provoquée par les chutes de météorites.
Dans la partie basse de l'ionosphère, la densité de molécules d'air est encore élevée, les collisions entre électrons et ions sont fréquentes ; un électron peut retrouver rapidement un ion positif : la recombinaison est rapide. Dans les couches les plus hautes, la recombinaison est plus lente et l'ionisation ne diminue que lentement après que le rayonnement solaire s'interrompt avec le coucher du Soleil.
Étude de l'ionosphère
Le sondeur vertical est une sorte de radar dont la fréquence est variable entre 1 et 30 MHz. L'émetteur envoie des impulsions très brèves qui sont réfléchies à une altitude dépendant de la fréquence et de la densité électronique dans l'ionosphère. La mesure du temps séparant l'impulsion émise et la réception de l'écho permet de calculer l'altitude à laquelle s'est effectuée la réflexion. Le tracé de cette altitude en fonction de la fréquence est un ionogramme.
Depuis les années 1960, les satellites artificiels et sondes spatiales ont permis une meilleure compréhension in situ des phénomènes ionosphériques et les interactions avec la magnétosphère.
De plus, durant ces mêmes années s'est développée une nouvelle technique d'étude de l'ionosphère depuis le sol : la diffusion incohérente. Dans cette technique, une onde UHF (400 MHz à 1 GHz suivant les installations) de très forte puissance (plusieurs centaines de kW) est émise vers l'ionosphère où elle est diffusée dans toutes les directions par les électrons ionosphériques. La puissance reçue au sol en retour est très faible et nécessite de grandes antennes et un traitement du signal pour extraire les informations. Cette technique permet d'avoir accès à la composition de l'ionosphère, la température des ions, ainsi qu'aux vitesses de déplacement de ces ions ("vents ionosphériques"). Des sondeurs furent installés en France à Saint-Santin-de-Maurs avec trois récepteurs dont le radiotélescope de Nançay, en Grande-Bretagne à Malvern, aux États-Unis à Millstone Hill et Arecibo (Porto-Rico), au Pérou à Jicamarca, ainsi qu'en Russie. Les trois derniers ainsi qu'Eiscat, le sondeur européen implanté dans le Grand nord scandinave, sont toujours en activité.
Couches
On distingue généralement trois couches aux propriétés propres vis-à-vis de la propagation des ondes.
• Couche D : altitude de 60 à 90 km, pression 2 Pa, température -76 °C, densité électronique 104. Constituée d'ions polyatomiques. Absorbante pour les ondes de fréquence inférieure à quelques MHz, elle apparaît avec le lever du Soleil et disparaît immédiatement après le coucher de celui-ci.
• Couche E : altitude de 90 à 120 km, pression 0,01 Pa, température -50 °C, densité électronique 105. Constituée d'oxygène et monoxyde d'azote moléculaires ionisés et d'ions météoritiques. Diurne et présente tout au long du cycle solaire. Elle réfléchit les ondes de quelques MHz jusqu'à une fréquence limite qui dépend de l'angle d'incidence de l'onde sur la couche et de la densité de celle-ci. Au cours de l'été, en moyennes latitudes, apparaissent parfois pendant quelques dizaines de minutes, voire quelques heures, des « nuages » fortement ionisés dans la couche E (on parle de sporadique E ou Es)
• Couche F : altitude de 120 à 800 km, pression 1×10-4 Pa, température 1 000 °C, densité électronique 106. Constituée d'atomes d'oxygène, d'azote et d'hydrogène. Très dépendante de l'activité solaire, elle présente un niveau d'ionisation très important pendant les maxima du cycle solaire. Son altitude fluctue en fonction du rayonnement solaire ; la couche F se décompose pendant la journée en deux sous-couches F1 et F2. Ces deux sous-couches se recombinent la nuit plusieurs heures après le coucher du Soleil mais il arrive qu'elles persistent toute la nuit lors des maxima d'activité solaire. Comme pour la couche E, le rôle de la couche F est essentiel pour la propagation des ondes courtes.
Rayonnements solaires et mécanisme de création des couches
L'ionosphère n'est rien d'autre qu'un gaz ionisé, c'est-à-dire un plasma. Or la théorie nous apprend qu'un gaz remplit uniformément tout l'espace dont il dispose, alors pourquoi il y a-t-il des couches dans l'ionosphère ?
Pour comprendre le mécanisme de formation des couches, on est obligé de compliquer un peu les choses, ainsi l'ionosphère n'est pas un gaz mais une succession de couches de gaz dont la composition dépend de la pression atmosphérique. De plus, il n'y a pas un rayonnement solaire mais des rayonnements dont le spectre s'étend de l'infrarouge aux rayons X. N'oublions pas les jets de particules par le soleil qui arrivent parfois à pénétrer dans la couche D...
Les couches sont donc le fruit de l'interaction entre des gaz, des rayonnements non ionisants, des rayonnements ionisants et des particules.
Il faut déjà comprendre ça avant de pouvoir assimiler la suite
RESONANCES DE SCHUMANN
On sait qu'entre 80 et 640 kilomètres au-dessus de la croûte terrestre il y a une couche atmosphérique conductrice d'électricité qu'on appelle ionosphère parce qu'elle est ionisée par les rayons ultraviolets et les rayons X provenant du soleil et du cosmos. On sait aussi que la croûte terrestre, dont le noyau est majoritairement composé de fer, possède également une charge électrique. C'est entre ces deux espaces chargés électriquement que se trouve la biosphère où nous vivons.
On dit que la surface de la terre possède une charge électrique négative[1] qui attire les ions positifs de l'atmosphère[2], particulièrement lors des orages électriques. La décharge d'un éclair produit une onde électromagnétique qui résonne à la surface de la terre. Il y aurait près de 100 éclairs à chaque seconde produits par environ 2000 orages électriques autour du monde. Ces éclairs contribuent à maintenir des ondes électromagnétiques d'extrêmement basses fréquences (ELF, Extremely Low Frequency) sur la planète. Ce sont ces propriétés de résonance de la sphère terrestre que W. O. Schumann découvrit et mesure dans le milieu des années 50.
On sait que la fréquence se calcule en divisant la vitesse de la lumière (300'000 km par seconde) par une longueur appelée la longueur d'onde. Or, si on fait le calcul avec la circonférence de la terre qui est d'environ 40'000 km, on obtient une fréquence de 7,5 Hertz, tout près de la fréquence moyenne de 7,8 Hertz découverte par Schumann.
Les signaux rythmiques du corps humain
Tout comme la résonance de Schumann, les ondes cérébrales sont aussi des ondes de fréquence extrêmement basses (ELF). Plusieurs recherches ont confirmé des liens entre ces signaux rythmiques et la santé et le bien-être. Les fréquences auxquelles pulsent les neurones déterminent le type d'activité de notre cerveau.
On en rencontre quatre principaux types :
• Les ondes DELTA, entre 0 et 4 Hertz, sont présentes dans le sommeil très profond. On a observé que l'hormone de croissance (la mélatonine) est stimulée durant cette période de sommeil (le pic de sécrétion se situe aux environs de deux heures du matin), qui est bénéfique pour la guérison et la régénération
• Les ondes THETA, entre 4 et 7 Hertz, sont présentes dans le sommeil mais peuvent aussi être dominantes dans des états de méditation profonde. Elles sont associées aux rêves lucides, là où nous sommes réceptifs à des informations au-delà de notre conscience normale
• Les ondes ALPHA, entre 7 et 13 Hertz, sont présentes dans le rêve et dans la méditation légère quand les yeux sont fermés. Les ondes alpha pulsent à travers tout le cortex cérébral. La fréquence des ondes alpha est aussi la même que la fenêtre de fréquences de résonance des champs électromagnétiques de la terre
• Les ondes BETA, entre 13 et 40 Hertz, dominent l'état d'éveil lorsque notre attention est dirigée vers le monde extérieur et occupé à des tâches cognitives (de réflexion). Elles sont associées avec la concentration, l'acuité visuelle et un état attentif .
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ionosph%C3%A8re
http://www.bioelec.ch/rayonnements/resonance_schumann.html
Pour ce qui est des applications ésotériques, je verrai ça demain, là je tombe sur tout et n'importe quoi... Je pense qu'une fois les bases scientifiques comprises, ça sera plus simple de faire le tri.
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