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Rusalka
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Rusalka
Bonjour,
C'est l'un des exemples mythologiques qui présente le mieux le lien entre l'eau et le succubat.
Dans la mythologie slave, la rusalka, ou roussalka (du russe : русалка / rusalka, « ondine, sirène »), est un esprit des eaux. Selon la légende, elle apparaît soit comme une jeune femme morte noyée et vengeresse, soit comme une vierge des eaux éplorée, à mettre en relation avec La Petite Sirène d’Hans Christian Andersen ou la Rusalka d’Antonín Dvořák. Selon l’historien des religions Mircea Eliade, il s’agit de résurgences du culte de Diane. De plus, son équivalent masculin est le vodnik.
Légende:
Belles, mais souvent cruelles, elles sont généralement néfastes. Certains n’hésitent pas à les rapprocher des succubes : elles « chatouillent » les hommes, mais peuvent également engendrer d’eux des êtres hybrides, décrits comme albinos et peu intelligents.
Pour s’en protéger, les traditions recommandent l’absinthe, le raifort, l’ail et la livèche. Une semaine leur est consacrée avant le solstice d’été.
Selon Édouard Brasey, les rusalki étaient des naïades slaves qui vivaient dans les points d’eau ou dans la mer Noire. Il dit aussi que lorsqu’une jeune fille y meurt, elle devient une de ces créatures « au teint pâle et aux yeux verdâtres, vêtues d’une robe de brume »
La semaine des Rusalki:
Les rusalki sont réputées pour être particulièrement dangereuses durant la Semaine des rusalki début juin. En effet, elles sont supposées avoir quitté les eaux profondes afin de se balancer aux branches des bouleaux et des saules durant la nuit. Nager durant cette semaine est à déconseiller de crainte que l’une d’entre elles ne profite de l’occasion pour noyer le nageur.
Max Vasmer remarque que le mot rusalka se référait originellement aux danses des filles de Pentecôte (pour les Latins, le « festival des roses »). Le mot serait ainsi dérivé du grec ῥουσάλια/rousália (rosalia).
source: wikipédia
On note une fête irlandaise à la même période (vers le 26 mai), la fête d'Airmed, fille du dieu de la médecine Diancecht, où l'on célèbre les fontaines et sources consacrées pour leur guérison miraculeuse.
Source: le nouveau calendrier païen, Glana-Claire Duclaye
On voit ainsi au fil des mythologies toute l'importance de l'eau et de ses représentant(e)s comme la Rusalka qui manifeste bien les penchants négatifs de cet élément.
Je vous recommande l'opéra d'Antonín Dvořák, avec entre autre son magnifique "chant à la lune".
Bien à vous, Hagel
C'est l'un des exemples mythologiques qui présente le mieux le lien entre l'eau et le succubat.
Rusalka
Dans la mythologie slave, la rusalka, ou roussalka (du russe : русалка / rusalka, « ondine, sirène »), est un esprit des eaux. Selon la légende, elle apparaît soit comme une jeune femme morte noyée et vengeresse, soit comme une vierge des eaux éplorée, à mettre en relation avec La Petite Sirène d’Hans Christian Andersen ou la Rusalka d’Antonín Dvořák. Selon l’historien des religions Mircea Eliade, il s’agit de résurgences du culte de Diane. De plus, son équivalent masculin est le vodnik.
Légende:
Belles, mais souvent cruelles, elles sont généralement néfastes. Certains n’hésitent pas à les rapprocher des succubes : elles « chatouillent » les hommes, mais peuvent également engendrer d’eux des êtres hybrides, décrits comme albinos et peu intelligents.
Pour s’en protéger, les traditions recommandent l’absinthe, le raifort, l’ail et la livèche. Une semaine leur est consacrée avant le solstice d’été.
Selon Édouard Brasey, les rusalki étaient des naïades slaves qui vivaient dans les points d’eau ou dans la mer Noire. Il dit aussi que lorsqu’une jeune fille y meurt, elle devient une de ces créatures « au teint pâle et aux yeux verdâtres, vêtues d’une robe de brume »
La semaine des Rusalki:
Les rusalki sont réputées pour être particulièrement dangereuses durant la Semaine des rusalki début juin. En effet, elles sont supposées avoir quitté les eaux profondes afin de se balancer aux branches des bouleaux et des saules durant la nuit. Nager durant cette semaine est à déconseiller de crainte que l’une d’entre elles ne profite de l’occasion pour noyer le nageur.
Max Vasmer remarque que le mot rusalka se référait originellement aux danses des filles de Pentecôte (pour les Latins, le « festival des roses »). Le mot serait ainsi dérivé du grec ῥουσάλια/rousália (rosalia).
source: wikipédia
On note une fête irlandaise à la même période (vers le 26 mai), la fête d'Airmed, fille du dieu de la médecine Diancecht, où l'on célèbre les fontaines et sources consacrées pour leur guérison miraculeuse.
Source: le nouveau calendrier païen, Glana-Claire Duclaye
On voit ainsi au fil des mythologies toute l'importance de l'eau et de ses représentant(e)s comme la Rusalka qui manifeste bien les penchants négatifs de cet élément.
Je vous recommande l'opéra d'Antonín Dvořák, avec entre autre son magnifique "chant à la lune".
Bien à vous, Hagel
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