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De la nature de l'objet et sa force
2 participants
Page 1 sur 1
De la nature de l'objet et sa force
Divisé de: préférez vous un objet ancien ou neuf
Quelle est la nature de l'Image ?
Nous avons sur notre support une Verge Marie, d'accord.
D’où vient elle ? - Je parle ici d'une tradition et non d'un parent par exemple.
Sur quoi est elle basée ? Un témoignage ? Une inspiration ? L'imagination fantasmatique d'un peintre ?
Que représente elle ? Quelles place tient cette représentation au sein de la tradition dont elle est issue ?
Vous parlez de règle, quelles sont leurs natures ?
Pourquoi une icone est acheiropoïète contrairement à une peinture baroque ?
Je voulais me concentrer sur le rapport technique de l'art à la théologie, mais nous pouvons développer sur les autres considérations si cela vous intéresse.
Quand à l'état d'esprit et le cadre : y a t-il une procédure à suivre pour réaliser une icône ? L'iconographe doit il suivre un entrainement spéciale ? Y a t-il des étapes dans la réalisation ?
A ma dernière question : Quelle est la nature du Support ?
L'iconographe utilise quel genre d'ingrédient ? De bois ? Y a t-il aussi une procédure ? Des étapes de réalisation pour confirmer ce titre d'acheiropoïètes ?
Je n'aime pas le terme d'égrégore, c'est usé. Utilisons plutôt le terme de Hiérohistoire voulez vous. L'église orthodoxe a une cosmogonie particulière et par le procédé d'iconographie transfigure la chair d'un homme avec une qualité divine en un Archétype (Un Saint ou une Sainte) permettant au génération précédant de se transfigurer eux même en usant de cet objet dans leur technique contemplative. D’où les importantes Hagiographies dans les églises orthodoxe prenant racine dans la personne du Saint-Esprit. Peut importe la réalité historique de la vie du saint, car nous somme ici au delà de ce genre de considération (hiérohistoire). Pour ce qui est des figures dominantes comme la Théotokos cela dépendra des branches orthodoxes, je ne connais que peu leur théologie mariale.
Amicalement
L'Imp'
Alors développons à nouveau notre questionnaire !Fennec a écrit:Il y'a le pouvoir de l'image, mais je ne pense pas qu'il ne suffise que la Vierge Marie, par exemple, soit représentée pour être positive. Selon l'auteur, sa manière de peindre, les règles et le cadre pour l'oeuvre... si l'auteur est en phase avec celle-ci quand il travaille dessus, ça alimentera les énergies du tableau dans sa signification toute particulière. De plus, plus l'oeuvre est en phase avec l'égrégore religieux lié, plus elle dégagera aussi...
Quelle est la nature de l'Image ?
Nous avons sur notre support une Verge Marie, d'accord.
D’où vient elle ? - Je parle ici d'une tradition et non d'un parent par exemple.
Sur quoi est elle basée ? Un témoignage ? Une inspiration ? L'imagination fantasmatique d'un peintre ?
Que représente elle ? Quelles place tient cette représentation au sein de la tradition dont elle est issue ?
Vous parlez de règle, quelles sont leurs natures ?
Pourquoi une icone est acheiropoïète contrairement à une peinture baroque ?
Je voulais me concentrer sur le rapport technique de l'art à la théologie, mais nous pouvons développer sur les autres considérations si cela vous intéresse.
Quand à l'état d'esprit et le cadre : y a t-il une procédure à suivre pour réaliser une icône ? L'iconographe doit il suivre un entrainement spéciale ? Y a t-il des étapes dans la réalisation ?
A ma dernière question : Quelle est la nature du Support ?
L'iconographe utilise quel genre d'ingrédient ? De bois ? Y a t-il aussi une procédure ? Des étapes de réalisation pour confirmer ce titre d'acheiropoïètes ?
Je n'aime pas le terme d'égrégore, c'est usé. Utilisons plutôt le terme de Hiérohistoire voulez vous. L'église orthodoxe a une cosmogonie particulière et par le procédé d'iconographie transfigure la chair d'un homme avec une qualité divine en un Archétype (Un Saint ou une Sainte) permettant au génération précédant de se transfigurer eux même en usant de cet objet dans leur technique contemplative. D’où les importantes Hagiographies dans les églises orthodoxe prenant racine dans la personne du Saint-Esprit. Peut importe la réalité historique de la vie du saint, car nous somme ici au delà de ce genre de considération (hiérohistoire). Pour ce qui est des figures dominantes comme la Théotokos cela dépendra des branches orthodoxes, je ne connais que peu leur théologie mariale.
Amicalement
L'Imp'
Invité- Invité
Re: De la nature de l'objet et sa force
Sujet divisé
toutes mes plus sincères félicitations pour ce lapsus qui remporte la palmeNous avons sur notre support une Verge Marie, d'accord.
Re: De la nature de l'objet et sa force
d'ou vient-elle? De la tradition comme tu dis, mais selon la spiritualité de la personne, elle n'aura pas une valeur absolue, dans cette icône religieuse, s'il y'a la Vierge Marie chrétienne, il y'a aussi la figure d'Isis pour d'autres... et on pourrait encore extrapôler le sujet sur les différentes représentations de la Vierge, ses différents visages...
Sur quoi est elle basée ? Tu parles de la nature de l'image? ou l'image en elle-même? Pour les deux cas, elle provient de la tradition et donc d'un "canon" propre à la représentation icônique (avec ses règles, ses codes, symboliques, esthétique, dans sa création).
Quelles place tient cette représentation au sein de la tradition dont elle est issue ? N'étant pas de tradition orthodoxe, je ne pourrais répondre à ta question. Mais je dirais d'une façon pas très originale, que c'est une image sacrée en lien direct avec les énergies divines, donc ce n'est pas un simple dessin, une "simple représentation de", mais l'expression et les symboles du divin et de ses énergies.
Vous parlez de règle, quelles sont leurs natures ?
Pourquoi une icone est acheiropoïète contrairement à une peinture baroque ?
Oui, mais non... Une peinture profane peut-être guidée par une entité "lumineuse"... donc pas d'accord sur le fond de ta comparaison, même si j'ai compris où tu voulais en venir.
Les règles/canons esthétiques et symboliques sont définies depuis la nuit des temps... mon ami qui est orthodoxe lui me dit que pour donner une légitimité aux icônes, on dit que les premières auraient été "envoyé" en même temps que les tables de la Loi... mais qu'elles seraient apparues à l'époque des premiers chrétiens. Les canons se sont aussi basées sur les canons esthétiques des représentations et icônes des familles impériales de Constantinople.
Aprés, je n'en sais pas plus sur ces origines, bien qu'il y'ait eu d'autres influences.
Quand à l'état d'esprit et le cadre : y a t-il une procédure à suivre pour réaliser une icône ? L'iconographe doit il suivre un entrainement spéciale ? Y a t-il des étapes dans la réalisation ?
A l'origine, c'était les religieux, les moines qui devaient créer l'icône, donc dans un esprit de piété, de sacralité... Aujourd'hui, il y'a clairement un marché des icônes, c'est devenu très commercial... donc finalement, est-ce une vraie icône?
A ma dernière question : Quelle est la nature du Support ?
L'iconographe utilise quel genre d'ingrédient ? De bois ? Y a t-il aussi une procédure ? Des étapes de réalisation pour confirmer ce titre d'acheiropoïètes ?
Ce sont des supports et outils précis, il y'a des préférences de matériaux. Un bon technicien ne fera pas forcément un bon acheiro-pouêt, même si cela y contribue!
Je n'aime pas le terme d'égrégore, c'est usé. Utilisons plutôt le terme de Hiérohistoire voulez vous.
Pour moi les deux ne sont pas semblables, il y'a beaucoup de nuances:définition de base sur wiki---> "égrégore est, dans l'ésotérisme, un concept désignant un esprit de groupe, une entité psychique autonome ou une force produite et influencée par les désirs et émotions de plusieurs individus unis dans un but commun. Cette force vivante fonctionnerait alors comme une entité autonome." [/b] Il est plus qu'un symbole.
Le terme de hiérohistoire implique que ça se passe à l'intérieur du sujet, alors que l'égrégore y devient externe. Je pense que c'est différent de ce point de vue.
Bonne soirée
Sur quoi est elle basée ? Tu parles de la nature de l'image? ou l'image en elle-même? Pour les deux cas, elle provient de la tradition et donc d'un "canon" propre à la représentation icônique (avec ses règles, ses codes, symboliques, esthétique, dans sa création).
Quelles place tient cette représentation au sein de la tradition dont elle est issue ? N'étant pas de tradition orthodoxe, je ne pourrais répondre à ta question. Mais je dirais d'une façon pas très originale, que c'est une image sacrée en lien direct avec les énergies divines, donc ce n'est pas un simple dessin, une "simple représentation de", mais l'expression et les symboles du divin et de ses énergies.
Vous parlez de règle, quelles sont leurs natures ?
Pourquoi une icone est acheiropoïète contrairement à une peinture baroque ?
Oui, mais non... Une peinture profane peut-être guidée par une entité "lumineuse"... donc pas d'accord sur le fond de ta comparaison, même si j'ai compris où tu voulais en venir.
Les règles/canons esthétiques et symboliques sont définies depuis la nuit des temps... mon ami qui est orthodoxe lui me dit que pour donner une légitimité aux icônes, on dit que les premières auraient été "envoyé" en même temps que les tables de la Loi... mais qu'elles seraient apparues à l'époque des premiers chrétiens. Les canons se sont aussi basées sur les canons esthétiques des représentations et icônes des familles impériales de Constantinople.
Aprés, je n'en sais pas plus sur ces origines, bien qu'il y'ait eu d'autres influences.
Quand à l'état d'esprit et le cadre : y a t-il une procédure à suivre pour réaliser une icône ? L'iconographe doit il suivre un entrainement spéciale ? Y a t-il des étapes dans la réalisation ?
A l'origine, c'était les religieux, les moines qui devaient créer l'icône, donc dans un esprit de piété, de sacralité... Aujourd'hui, il y'a clairement un marché des icônes, c'est devenu très commercial... donc finalement, est-ce une vraie icône?
A ma dernière question : Quelle est la nature du Support ?
L'iconographe utilise quel genre d'ingrédient ? De bois ? Y a t-il aussi une procédure ? Des étapes de réalisation pour confirmer ce titre d'acheiropoïètes ?
Ce sont des supports et outils précis, il y'a des préférences de matériaux. Un bon technicien ne fera pas forcément un bon acheiro-pouêt, même si cela y contribue!
Je n'aime pas le terme d'égrégore, c'est usé. Utilisons plutôt le terme de Hiérohistoire voulez vous.
Pour moi les deux ne sont pas semblables, il y'a beaucoup de nuances:définition de base sur wiki---> "égrégore est, dans l'ésotérisme, un concept désignant un esprit de groupe, une entité psychique autonome ou une force produite et influencée par les désirs et émotions de plusieurs individus unis dans un but commun. Cette force vivante fonctionnerait alors comme une entité autonome." [/b] Il est plus qu'un symbole.
Le terme de hiérohistoire implique que ça se passe à l'intérieur du sujet, alors que l'égrégore y devient externe. Je pense que c'est différent de ce point de vue.
Bonne soirée
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