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La dimension géométrique/ésotérique/astronomique
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La dimension géométrique/ésotérique/astronomique
Orion
Si on commence à observer la pyramide du point de vue du symbole, de la forme et du nombre, on se trouve face à une quantité énorme de données, de correspondances et de possibilités, confirmées ou proposées par certains savants, niées et méprisées par d'autres. L'œuvre de Patrie, qui essaie de détruire le mythe de la pyramide, baigne dans l'ambivalence. Cependant elle s'est révélée un précieux outil d'investigation: en effet l'exactitude des mesures a confirmé la véridicité des hypothèses les plus imaginatives.
Le très vif débat entre les partisans et les opposants du code chiffré de la pyramide se fonde justement sur cet élément: la mesure. Les Égyptiens appliquaient trois différents systèmes de mesure. La coudée royale, qui correspond à 522 mm, divisée en 7 palmes de 75 mm chacune et 28 doigts de 18,7 mrn; la coudée courte de 450 nam (6 palmes et 24 doigts) et emplie la coudée sacrée ou pyramidale. Celle-ci était limitée è la Grande Pyramide et par conséquent, selon les partisans du point de vue .`.réaliste" de Peule, elle avait été inventée par leurs adversaires imaginatifs. Quelqu’un écrivit, en effet, qu'une lecture cryptographique comme celle de la pyramide pané être effectuée sur n'importe quelle construction: d'une façon ou d'une autre les résultats sont toujours
stupéfiants, A défaut de preuves directes, accomplies personnellement, et de calculs approfondis, il est difficile de se ranger d'un côté plutôt que de l'autre.
Il faudra donc se limiter à une brève présentation des résultats obtenus par les spécialistes qui se sont fondés sur ces textes, et attendre qu'une analyse plus approfondie confirme ou nie leur crédibilité. La pyramide, dûment mesurée et interprétée, renfermerait toutes les données astronomiques, mathématiques, géométriques qui constituent le bagage culturel de l'humanité, et elle confirmerait l'hypothèse de son rôle d'archivage, détenant toutes les connaissances de peuples mythiques, menacés par une catastrophe. Sa hauteur correspondrait à 1/1 000 000e de distance entre la terre et le soleil; le périmètre de sa base serait une fraction exacte de la circonférence terrestre et il exprimerait également l'année solaire (36,520 pouces) et l'année sidérale; le total des diagonales de base donnerait le cycle processionnel de la terre, exprimé cri années. En multipliant le pouce pyramidal par mille milliards, on obtiendrait la longueur de l'itinéraire que notre planète accomplit sur son orbite, en 24 heures. La coudée correspondrait à 1/1 000, de la distance couverte par la terre, à l'équateur, en une seconde; si on la multiplie par un million, on obtient le rayon de la terre aux deux pôles. Le rapport entre le périmètre et la hauteur serait proportionnel au rapport existant entre le rayon et la circonférence, c'est-à-dire = 6,28, calculé seulement par les Grecs au iv, siècle av. J.-C. La pyramide comporterait également la valeur de la section dorée, la loi de gravitation par rapport à la terre et à son orbite, les limites de variation de l'excentricité de l'orbite terrestre, le théorème de Pythagore, les formules de l'électricité et même des secrets telles que la fission de l'atome et la désintégration de la matière.,
La connaissance de la géométrie hermétique serait le fondement même de la Grande Pyramide, qui synthétiserait la forme statique du cube et la forme dynamique de la sphère. Sa construction aurait donc exigé des notions tels que la quadrature du cercle et le cubage de la sphère: ceci serait démontré par la forme du plancher de la Chambre du Roi (rectangle d'or). La géométrie statique des angles (le physique) peut se transformer dans la géométrie dynamique des courbes (le spirituel). La pyramide renfermerait donc un message de transformation, de transmigration vers d'autres plans au contenu initiatique.
Si on considère la Grande Pyramide d'un point de vue géométrique et magnétique, c'est-à-dire comme la partie visible d'une figure complexe, composée d'une antipyra¬mide souterraine, dont le périmètre de base coïncide avec celui de la structure réelle et dont le sommet est diamétralement opposé, et d'une nouvelle pyramide, située complètement dans l'air, dont le sommet coïncide avec le sommet de la pyramide réelle et dont la base est diamétralement opposée à la base de celle-ci, on assisterait à la formation d'un système cyclique de phases créatrices et de phases destructrices, agissant l'une sur l'autre. Au croisement des sommets le passé et l'avenir seraient annulés. La pyramide pourrait donc, grâce à ses implications géométriques et en amplifiant l'action du flux temporel, conserver la substance organique en la momifiant. Nous allons maintenant aborder un système de décodification de la pyramide fondé uniquement sur le nombre et sur sa signification intrinsèque. Le langage mathématique, qui a toujours la même grammaire et la même "sémantique", devient l'outil universel permettant de lire un message ... chiffré.
Certes, la complexité de cet immense livre de pierre qu'est la pyramide, plein de chiffres et de symboles, ne facilite pas le travail. 11 est pratiquement inaccessible à ceux qui ne possèdent pas de connaissances solides sur les mesures architecturales de la pyramide et la symbologie du chi ire, de la cabale et de la théosophie. Ce dont nous allons parler ne sera évidemment qu'un avant-goût d'une méthodologie séduisante et embrouillée, basée sur le nombre comme émanation, énergie indépendante ou combinée à travers le total, pure vibration en harmonie avec la pulsation du cosmos. Analysons brièvement la symbologie des chiffres liés à la structure pyramidale, pris individuellement (mesures des côtés, des angles, etc.) ou pris en tant que résultat de l'addition et de la multiplication des différentes mesures en coudées, en pouces et en degrés:
1. L'unité, l'indifférencié.
2. La génération, la production de l'autre, la polarité.
3. La synthèse, la perfection.
(3,14) l'éternel, le divin, la spiritualité exprimée dans sa forme circulaire.
4. Le cube, la matière, la stabilité (2 x 2).
5. La création, l'initiation.
6. L'imperfection (2 x 3).
7. La perfection sur le plan spirituel.
8. L'éternel, la renaissance.
9. La perfection absolue, la connaissance.
10. Un millénaire, l'époque messianique. 12. Le genre humain. 25. Le grand initié (5 x 5). 99. Le sommet, l'apogée. La racine carrée symbolise plein, l'absolu.
Si on examine superficiellement la pyramide, privée de son sommet, on remarque tout de suite les chiffres 6 et le début, le carré, le degré 8 (nombre des faces et des angles), symboles de l'incomplet et de la renaissance. La situation changerait complètement si on ajoutait le sommet (5 faces + 5 angles = 10, à savoir l'illumination). L'imperfection et l'obligation de renaître, symbolisées par les chiffres 6 et 8, dénonceraient l'état actuel de l'homme, qui ne peut se réaliser complètement (5+5=10) qu'en passant par la voie de l'initiation (5). Le monde manque de lumière et ce n'est qu'en la restaurant qu'on peut retrouver l'harmonie primitive. La purification spirituelle fait naître le grand initié., le Messie (5)2, porteur de la récompense définitive pour les justes et de la chute pour les impies (jugement dernier). Le sommet qui manque aurait été reproduit dans un triangle sur chaque face de la pyramide, à l'échelle 1:5, ce qui confirme encore une fois le chiffre de l'initiation:. On obtiendrait le même résultat en calculant le nombre de dalles de pierre qui composent le plafond de la grande galerie: 40 dalles = 8 x 5: renaissance d'un initié et illumination de l'humanité; (153 x 12 pouces) = 9 x 12 (les apôtres).
Rutheforth, dans un contexte purement spatial, attribue au sommet et à la droite une valeur positive, de progrès, à la base et à la gauche une valeur de dégradation et de négativité. Si on regarde la pyramide, en effet, la droite correspond à l'ouest, siège du destin glorieux des morts; l'est à l'aube, la renaissance continuelle du soleil. La pyramide comme lieu initiatique symbolise la mort et confère, par le passage métaphorique dans le labyrinthe enchevêtré de l'au-delà, la naissance définitive, l'illumination. Mourir en étant profane devient la condition sine qua non de la renaissance au sacré, pour entrer dans la Lumière. Il est probable que le message ésotérique renfermé dans la géométrie et dans le nombre de la pyramide n'est pas lié à l'individu mais plutôt à l'humanité entière,
qui a perdu, après son entrée dans l'ère de l'obscurantisme, son but même: la libération qu'on ne peut obtenir que par le biais de l'expérience et de la connaissance. On dit que les anciennes chronologies des rois contenaient les données de toutes les mesures pyramidales (1 an
1 pouce), ce qui déterminait une espèce de message de réserve ou de ... message du message, au cas où la, grande pyramide, pour une raison ou une autre, aurait disparu. Quels que soient les résultats de ces systèmes de décodification, une réalité qu'on ne peut sous-estimer fait son apparition. Les Égyptiens, et non seulement les Égyptiens mais aussi d'autres civilisations anciennes disparues, possédaient des connaissances ésotériques qu'ils ont essayé de transmettre au moyen de symboles, de modalités différentes. Ceci peut vouloir dire qu'au-delà de la contingence de chaque vie, dur chaque civilisation, et même de chaque ère, à travers une succession continue de cycles historiques, une alternance de positif et de négatif, de mort et de renaissance, il existe quelque chose de fondamental, qui coordonne l'immense et douloureux travail accompli par l'han mam ë pour tenter de se perpétuer. Le leitmotiv est, toujours et partout, "connaître pour atteindre la perfection".
L'omniprésent message initiatique a réussi à transcender les limites imposées par le temps et il est arrivé jusqu'à nous, à une époque qui en a de plus en plus besoin. Le désir des Anciens était justement de laisser à la postérité (dans laquelle ils allaient peut-être se réincarner) la clef pour retrouver ce qui avait été perdu, dans un contexte circulaire ou en forme spirale, qui ramène toujours ceux qui avancent à leur point de départ, mais un peu plus haut, à l'octave supérieure. Ne sous-estimons pas ce message: essayons plutôt de le comprendre.
Si on commence à observer la pyramide du point de vue du symbole, de la forme et du nombre, on se trouve face à une quantité énorme de données, de correspondances et de possibilités, confirmées ou proposées par certains savants, niées et méprisées par d'autres. L'œuvre de Patrie, qui essaie de détruire le mythe de la pyramide, baigne dans l'ambivalence. Cependant elle s'est révélée un précieux outil d'investigation: en effet l'exactitude des mesures a confirmé la véridicité des hypothèses les plus imaginatives.
Le très vif débat entre les partisans et les opposants du code chiffré de la pyramide se fonde justement sur cet élément: la mesure. Les Égyptiens appliquaient trois différents systèmes de mesure. La coudée royale, qui correspond à 522 mm, divisée en 7 palmes de 75 mm chacune et 28 doigts de 18,7 mrn; la coudée courte de 450 nam (6 palmes et 24 doigts) et emplie la coudée sacrée ou pyramidale. Celle-ci était limitée è la Grande Pyramide et par conséquent, selon les partisans du point de vue .`.réaliste" de Peule, elle avait été inventée par leurs adversaires imaginatifs. Quelqu’un écrivit, en effet, qu'une lecture cryptographique comme celle de la pyramide pané être effectuée sur n'importe quelle construction: d'une façon ou d'une autre les résultats sont toujours
stupéfiants, A défaut de preuves directes, accomplies personnellement, et de calculs approfondis, il est difficile de se ranger d'un côté plutôt que de l'autre.
Il faudra donc se limiter à une brève présentation des résultats obtenus par les spécialistes qui se sont fondés sur ces textes, et attendre qu'une analyse plus approfondie confirme ou nie leur crédibilité. La pyramide, dûment mesurée et interprétée, renfermerait toutes les données astronomiques, mathématiques, géométriques qui constituent le bagage culturel de l'humanité, et elle confirmerait l'hypothèse de son rôle d'archivage, détenant toutes les connaissances de peuples mythiques, menacés par une catastrophe. Sa hauteur correspondrait à 1/1 000 000e de distance entre la terre et le soleil; le périmètre de sa base serait une fraction exacte de la circonférence terrestre et il exprimerait également l'année solaire (36,520 pouces) et l'année sidérale; le total des diagonales de base donnerait le cycle processionnel de la terre, exprimé cri années. En multipliant le pouce pyramidal par mille milliards, on obtiendrait la longueur de l'itinéraire que notre planète accomplit sur son orbite, en 24 heures. La coudée correspondrait à 1/1 000, de la distance couverte par la terre, à l'équateur, en une seconde; si on la multiplie par un million, on obtient le rayon de la terre aux deux pôles. Le rapport entre le périmètre et la hauteur serait proportionnel au rapport existant entre le rayon et la circonférence, c'est-à-dire = 6,28, calculé seulement par les Grecs au iv, siècle av. J.-C. La pyramide comporterait également la valeur de la section dorée, la loi de gravitation par rapport à la terre et à son orbite, les limites de variation de l'excentricité de l'orbite terrestre, le théorème de Pythagore, les formules de l'électricité et même des secrets telles que la fission de l'atome et la désintégration de la matière.,
La connaissance de la géométrie hermétique serait le fondement même de la Grande Pyramide, qui synthétiserait la forme statique du cube et la forme dynamique de la sphère. Sa construction aurait donc exigé des notions tels que la quadrature du cercle et le cubage de la sphère: ceci serait démontré par la forme du plancher de la Chambre du Roi (rectangle d'or). La géométrie statique des angles (le physique) peut se transformer dans la géométrie dynamique des courbes (le spirituel). La pyramide renfermerait donc un message de transformation, de transmigration vers d'autres plans au contenu initiatique.
Si on considère la Grande Pyramide d'un point de vue géométrique et magnétique, c'est-à-dire comme la partie visible d'une figure complexe, composée d'une antipyra¬mide souterraine, dont le périmètre de base coïncide avec celui de la structure réelle et dont le sommet est diamétralement opposé, et d'une nouvelle pyramide, située complètement dans l'air, dont le sommet coïncide avec le sommet de la pyramide réelle et dont la base est diamétralement opposée à la base de celle-ci, on assisterait à la formation d'un système cyclique de phases créatrices et de phases destructrices, agissant l'une sur l'autre. Au croisement des sommets le passé et l'avenir seraient annulés. La pyramide pourrait donc, grâce à ses implications géométriques et en amplifiant l'action du flux temporel, conserver la substance organique en la momifiant. Nous allons maintenant aborder un système de décodification de la pyramide fondé uniquement sur le nombre et sur sa signification intrinsèque. Le langage mathématique, qui a toujours la même grammaire et la même "sémantique", devient l'outil universel permettant de lire un message ... chiffré.
Certes, la complexité de cet immense livre de pierre qu'est la pyramide, plein de chiffres et de symboles, ne facilite pas le travail. 11 est pratiquement inaccessible à ceux qui ne possèdent pas de connaissances solides sur les mesures architecturales de la pyramide et la symbologie du chi ire, de la cabale et de la théosophie. Ce dont nous allons parler ne sera évidemment qu'un avant-goût d'une méthodologie séduisante et embrouillée, basée sur le nombre comme émanation, énergie indépendante ou combinée à travers le total, pure vibration en harmonie avec la pulsation du cosmos. Analysons brièvement la symbologie des chiffres liés à la structure pyramidale, pris individuellement (mesures des côtés, des angles, etc.) ou pris en tant que résultat de l'addition et de la multiplication des différentes mesures en coudées, en pouces et en degrés:
1. L'unité, l'indifférencié.
2. La génération, la production de l'autre, la polarité.
3. La synthèse, la perfection.
(3,14) l'éternel, le divin, la spiritualité exprimée dans sa forme circulaire.
4. Le cube, la matière, la stabilité (2 x 2).
5. La création, l'initiation.
6. L'imperfection (2 x 3).
7. La perfection sur le plan spirituel.
8. L'éternel, la renaissance.
9. La perfection absolue, la connaissance.
10. Un millénaire, l'époque messianique. 12. Le genre humain. 25. Le grand initié (5 x 5). 99. Le sommet, l'apogée. La racine carrée symbolise plein, l'absolu.
Si on examine superficiellement la pyramide, privée de son sommet, on remarque tout de suite les chiffres 6 et le début, le carré, le degré 8 (nombre des faces et des angles), symboles de l'incomplet et de la renaissance. La situation changerait complètement si on ajoutait le sommet (5 faces + 5 angles = 10, à savoir l'illumination). L'imperfection et l'obligation de renaître, symbolisées par les chiffres 6 et 8, dénonceraient l'état actuel de l'homme, qui ne peut se réaliser complètement (5+5=10) qu'en passant par la voie de l'initiation (5). Le monde manque de lumière et ce n'est qu'en la restaurant qu'on peut retrouver l'harmonie primitive. La purification spirituelle fait naître le grand initié., le Messie (5)2, porteur de la récompense définitive pour les justes et de la chute pour les impies (jugement dernier). Le sommet qui manque aurait été reproduit dans un triangle sur chaque face de la pyramide, à l'échelle 1:5, ce qui confirme encore une fois le chiffre de l'initiation:. On obtiendrait le même résultat en calculant le nombre de dalles de pierre qui composent le plafond de la grande galerie: 40 dalles = 8 x 5: renaissance d'un initié et illumination de l'humanité; (153 x 12 pouces) = 9 x 12 (les apôtres).
Rutheforth, dans un contexte purement spatial, attribue au sommet et à la droite une valeur positive, de progrès, à la base et à la gauche une valeur de dégradation et de négativité. Si on regarde la pyramide, en effet, la droite correspond à l'ouest, siège du destin glorieux des morts; l'est à l'aube, la renaissance continuelle du soleil. La pyramide comme lieu initiatique symbolise la mort et confère, par le passage métaphorique dans le labyrinthe enchevêtré de l'au-delà, la naissance définitive, l'illumination. Mourir en étant profane devient la condition sine qua non de la renaissance au sacré, pour entrer dans la Lumière. Il est probable que le message ésotérique renfermé dans la géométrie et dans le nombre de la pyramide n'est pas lié à l'individu mais plutôt à l'humanité entière,
qui a perdu, après son entrée dans l'ère de l'obscurantisme, son but même: la libération qu'on ne peut obtenir que par le biais de l'expérience et de la connaissance. On dit que les anciennes chronologies des rois contenaient les données de toutes les mesures pyramidales (1 an
1 pouce), ce qui déterminait une espèce de message de réserve ou de ... message du message, au cas où la, grande pyramide, pour une raison ou une autre, aurait disparu. Quels que soient les résultats de ces systèmes de décodification, une réalité qu'on ne peut sous-estimer fait son apparition. Les Égyptiens, et non seulement les Égyptiens mais aussi d'autres civilisations anciennes disparues, possédaient des connaissances ésotériques qu'ils ont essayé de transmettre au moyen de symboles, de modalités différentes. Ceci peut vouloir dire qu'au-delà de la contingence de chaque vie, dur chaque civilisation, et même de chaque ère, à travers une succession continue de cycles historiques, une alternance de positif et de négatif, de mort et de renaissance, il existe quelque chose de fondamental, qui coordonne l'immense et douloureux travail accompli par l'han mam ë pour tenter de se perpétuer. Le leitmotiv est, toujours et partout, "connaître pour atteindre la perfection".
L'omniprésent message initiatique a réussi à transcender les limites imposées par le temps et il est arrivé jusqu'à nous, à une époque qui en a de plus en plus besoin. Le désir des Anciens était justement de laisser à la postérité (dans laquelle ils allaient peut-être se réincarner) la clef pour retrouver ce qui avait été perdu, dans un contexte circulaire ou en forme spirale, qui ramène toujours ceux qui avancent à leur point de départ, mais un peu plus haut, à l'octave supérieure. Ne sous-estimons pas ce message: essayons plutôt de le comprendre.
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