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Des pistes pour décoder les symboles
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Des pistes pour décoder les symboles
Décoder n'est peut-être pas le mot le mieux choisi pour le titre de ce post, mais toujours est-il qu'il est toujours assez difficile de faire le point sur un symbole sans se perdre dans la masse d'informations qu'on trouve un peu partout, sans parler des informations totalement abracadabrantes sur lesquelles on peut tomber quand on fait des recherches.
L'idéal quand on s'intéresse aux symboles c'est d'avoir plusieurs ouvrages et de préférence au moins un de référence (vous trouverez certainement votre bonheur dans la bibliothèque), puis quelques ouvrages spécialisés dans la nature des symboles qui vous intéresse: et c'est là que ça se corse. Car il y a beaucoup d'ouvrages de toutes sortes, mais des bons, des fiables... Je pense que dans la richesse des informations, le nombre de pages ne compte pas, les dictionnaires de symboles, c'est certes très bien, mais ce sont des résumés (même si ça paraît développé) lus et relus un peu partout. Si vous avez un dictionnaire des symboles en votre possession: lisez la bibliographie, vous trouverez certainement quelques pistes de recherches pour de prochains ouvrages à vous fournir afin de développer vos connaissances.
Les ouvrages de mythologie (spécialisé en un courant spirituel en général) regorgent de symboles qu'il faut prendre le temps de noter si une partie symbole n'existe pas dans le livre. Cela peut paraître long, mais après ça dépend de ce que l'on cherche. La satisfaction de "découvrir" des infos qui ne traînent pas forcément partout, un peu comme une pépite d'or ^^ ou amasser des symboles à tout va sans s'en imprégner réellement.
En dehors de cela, je vais de ce pas vous mettre quelques infos issue d'un article de wikipédia concernant la symbologie:
Qu'est-ce que la symbologie?
La symbologie est la science, la théorie des symboles : elle étudie leur définition, leur histoire, leur typologie, les utilisations possibles.
La symbologie comprend => sociologie, anthropologie, histoire, psychanalyse, herméneutique, typologie... Néanmoins ici je ne parlerais pas de psychanalyse car il me semble que si cela doit apparaître c'est plus dans la section "rêves".
Techniques de décodage des symboles
Déjà la question se pose : a-t-on le code ou pas ?
Si on l'a, on va faire du déchiffrage ; si on ne l'a pas, ce sera du décryptage. Par exemple, si on examine différentes couleurs dans un livre d'iconographie alchimique, le clef consiste dans la succession des couleurs donnée par les alchimistes pour le Grand Œuvre : d'après eux, il y a noir, puis blanc, puis jaune, enfin rouge. Si on n'a pas cette clef, on ne sait comment classer ou interpréter.
Ensuite, parmi d'autres difficultés : où faut-il chercher les symboles ? Par exemple, dans un livre biblique, Exode XIV, 19-21, chaque verset comporte 72 lettres : il faut avoir l'idée d'y regarder, et savoir l'hébreu !
Il existe plusieurs méthodes pour interpréter les symboles. En voici quelques-unes, par ordre alphabétique.
Méthode allégorique : on traduit terme à terme un symbole ou un groupe de symboles dans un autre langage. Par allégorie, chaque élément du symbole (texte, œuvre d'art, animal, geste...) est mis en correspondance avec les détails d'une idée qu'ils sont censés exprimer (morale, sexualité, religion, philosophie, alchimie...).
Platon fait ainsi quand il interprète son allégorie de la caverne (La République, VII) :
"Représente-toi donc des hommes qui vivent dans une sorte de demeure souterraine en forme de caverne... Cette image, il faut l'appliquer en assimilant au séjour dans la prison la région qui se présente à nous par l'entremise de la vue..."
Chez les juifs, Philon d'Alexandrie, vers 40, s'est illustré par son exégèse allégorique de l'Ancien Testament :
"S'il est vrai qu'une fête symbolise la joie spirituelle et l'action de grâces qui monte vers Dieu, ne désertons pas pour autant les assemblées qui jalonnent les saisons. S'il est vrai que la circoncision exprime la séparation d'avec le plaisir et d'avec toutes les passions, n'allons pas pour autant supprimer la loi pratique de la circoncision. Car nous négligerions aussi le service du Temple et mille autres observances, à force de nous intéresser aux seules lumières du sens profond. Non, il faut admettre que ces deux aspects de la Loi correspondent l'un au corps, l'autre à l'âme, et donc - comme il faut songer au corps parce qu'il est la maison de l'âme - il faut pareillement se soucier des lois telles sont énoncées. En les observant, on verra s'éclairer davantage les réalités dont elles sont le symbole" (De la migration d'Abraham, 92-93).
On peut voir que la méthode allégorique peut permettre à illustrer un symbole.
Méthode analytique : on peut décomposer le symbole en ses éléments (qualités, fonctions, phases...).
Méthode comparative : on peut confronter deux symboles (ressemblances, différences, points communs, priorités, relations, origines, fonctions), pour cerner le sens de chacun.
Méthode descriptive : on relève les caractéristiques extérieures, de façon objective. Par exemple, la tortue a quatre pattes (symbole quatre), elle présente une carapace ronde sur le dessus et plate sur le dessous (symboles haut/bas, rond/plat), une marche lente (symbole lenteur), une vie longue (symbole longévité).
Méthode empathique : on peut saisir le sens d'un symbole en portant attention au vécu, au ressenti, à ce l'on éprouve face à lui.
Dans ce cadre, cela reste tout de même très personnel, on parlera plus d'interprétation du symbole que de l'étude de celui-ci.
Méthode éthologique (Konrad Lorenz, Irenäus Eibl-Eibesfeldt) : on observe les déclencheurs (caractères morphologiques et modes de comportements d'un individu provoquant une réponse déterminée chez un autre individu). Par exemple, de quoi le rouge est-il le symbole ? On sait que le ventre rouge d'une épinoche (un poisson) mâle est un déclencheur de l'agression chez un mâle rival ; on peut donc, avec le sens des relativités, associer le rouge comme symbolisant et l'agression comme symbolisé.
Méthode dumézilienne : Georges Dumézil (1938)6 rattache les symboles aux trois fonctions sociales hiérarchisées des Indo-Européens, souveraineté magique et juridique, force guerrière, fécondité ; d'autre part, il se fonde, non sur des détails, mais sur des rapports, la structure, le système des relations.
Par exemple, Hérodote parle des Scythes en ces termes :
" Des objets d’or, une charrue et un joug, une sagaris [hache], une coupe tombèrent sur la terre de Scythie "; pour Dumézil, la coupe est le symbole de la souveraineté, la hache le symbole de la guerre, la charrue et le joug les symboles de la production, l’une pour l’agriculture, l’autre pour l’élevage.
Méthode historique : on peut accumuler les documents, tracer des chronologies, interpréter les naissances et les évolutions. Plusieurs auteurs ont retracé l'histoire du svastika, depuis la préhistoire jusqu'au nazisme.
Méthode structurale (Vladimir Propp, Lévi-Strauss) : un structuraliste est attentif aux unités constitutives (toutes jugées pertinentes), au système, aux oppositions, aux transformations d'un code à l'autre, aux interactions entre signifiant et signifié, aux structures inconscientes de la société.
Vous constaterez que les posts les plus complets concernant les symboles sont un peu un mixage de toute (ou une partie) de ces méthodes. Vous avez les cartes en mains si vous souhaitez vous lancer.
Par ailleurs, si vous avez d'autres informations sur "le décodage des symboles", n'hésitez pas à poster à la suite.
L'idéal quand on s'intéresse aux symboles c'est d'avoir plusieurs ouvrages et de préférence au moins un de référence (vous trouverez certainement votre bonheur dans la bibliothèque), puis quelques ouvrages spécialisés dans la nature des symboles qui vous intéresse: et c'est là que ça se corse. Car il y a beaucoup d'ouvrages de toutes sortes, mais des bons, des fiables... Je pense que dans la richesse des informations, le nombre de pages ne compte pas, les dictionnaires de symboles, c'est certes très bien, mais ce sont des résumés (même si ça paraît développé) lus et relus un peu partout. Si vous avez un dictionnaire des symboles en votre possession: lisez la bibliographie, vous trouverez certainement quelques pistes de recherches pour de prochains ouvrages à vous fournir afin de développer vos connaissances.
Les ouvrages de mythologie (spécialisé en un courant spirituel en général) regorgent de symboles qu'il faut prendre le temps de noter si une partie symbole n'existe pas dans le livre. Cela peut paraître long, mais après ça dépend de ce que l'on cherche. La satisfaction de "découvrir" des infos qui ne traînent pas forcément partout, un peu comme une pépite d'or ^^ ou amasser des symboles à tout va sans s'en imprégner réellement.
En dehors de cela, je vais de ce pas vous mettre quelques infos issue d'un article de wikipédia concernant la symbologie:
Qu'est-ce que la symbologie?
La symbologie est la science, la théorie des symboles : elle étudie leur définition, leur histoire, leur typologie, les utilisations possibles.
La symbologie comprend => sociologie, anthropologie, histoire, psychanalyse, herméneutique, typologie... Néanmoins ici je ne parlerais pas de psychanalyse car il me semble que si cela doit apparaître c'est plus dans la section "rêves".
Techniques de décodage des symboles
Déjà la question se pose : a-t-on le code ou pas ?
Si on l'a, on va faire du déchiffrage ; si on ne l'a pas, ce sera du décryptage. Par exemple, si on examine différentes couleurs dans un livre d'iconographie alchimique, le clef consiste dans la succession des couleurs donnée par les alchimistes pour le Grand Œuvre : d'après eux, il y a noir, puis blanc, puis jaune, enfin rouge. Si on n'a pas cette clef, on ne sait comment classer ou interpréter.
Ensuite, parmi d'autres difficultés : où faut-il chercher les symboles ? Par exemple, dans un livre biblique, Exode XIV, 19-21, chaque verset comporte 72 lettres : il faut avoir l'idée d'y regarder, et savoir l'hébreu !
Il existe plusieurs méthodes pour interpréter les symboles. En voici quelques-unes, par ordre alphabétique.
Méthode allégorique : on traduit terme à terme un symbole ou un groupe de symboles dans un autre langage. Par allégorie, chaque élément du symbole (texte, œuvre d'art, animal, geste...) est mis en correspondance avec les détails d'une idée qu'ils sont censés exprimer (morale, sexualité, religion, philosophie, alchimie...).
Platon fait ainsi quand il interprète son allégorie de la caverne (La République, VII) :
"Représente-toi donc des hommes qui vivent dans une sorte de demeure souterraine en forme de caverne... Cette image, il faut l'appliquer en assimilant au séjour dans la prison la région qui se présente à nous par l'entremise de la vue..."
Chez les juifs, Philon d'Alexandrie, vers 40, s'est illustré par son exégèse allégorique de l'Ancien Testament :
"S'il est vrai qu'une fête symbolise la joie spirituelle et l'action de grâces qui monte vers Dieu, ne désertons pas pour autant les assemblées qui jalonnent les saisons. S'il est vrai que la circoncision exprime la séparation d'avec le plaisir et d'avec toutes les passions, n'allons pas pour autant supprimer la loi pratique de la circoncision. Car nous négligerions aussi le service du Temple et mille autres observances, à force de nous intéresser aux seules lumières du sens profond. Non, il faut admettre que ces deux aspects de la Loi correspondent l'un au corps, l'autre à l'âme, et donc - comme il faut songer au corps parce qu'il est la maison de l'âme - il faut pareillement se soucier des lois telles sont énoncées. En les observant, on verra s'éclairer davantage les réalités dont elles sont le symbole" (De la migration d'Abraham, 92-93).
On peut voir que la méthode allégorique peut permettre à illustrer un symbole.
Méthode analytique : on peut décomposer le symbole en ses éléments (qualités, fonctions, phases...).
Méthode comparative : on peut confronter deux symboles (ressemblances, différences, points communs, priorités, relations, origines, fonctions), pour cerner le sens de chacun.
Méthode descriptive : on relève les caractéristiques extérieures, de façon objective. Par exemple, la tortue a quatre pattes (symbole quatre), elle présente une carapace ronde sur le dessus et plate sur le dessous (symboles haut/bas, rond/plat), une marche lente (symbole lenteur), une vie longue (symbole longévité).
Méthode empathique : on peut saisir le sens d'un symbole en portant attention au vécu, au ressenti, à ce l'on éprouve face à lui.
Dans ce cadre, cela reste tout de même très personnel, on parlera plus d'interprétation du symbole que de l'étude de celui-ci.
Méthode éthologique (Konrad Lorenz, Irenäus Eibl-Eibesfeldt) : on observe les déclencheurs (caractères morphologiques et modes de comportements d'un individu provoquant une réponse déterminée chez un autre individu). Par exemple, de quoi le rouge est-il le symbole ? On sait que le ventre rouge d'une épinoche (un poisson) mâle est un déclencheur de l'agression chez un mâle rival ; on peut donc, avec le sens des relativités, associer le rouge comme symbolisant et l'agression comme symbolisé.
Méthode dumézilienne : Georges Dumézil (1938)6 rattache les symboles aux trois fonctions sociales hiérarchisées des Indo-Européens, souveraineté magique et juridique, force guerrière, fécondité ; d'autre part, il se fonde, non sur des détails, mais sur des rapports, la structure, le système des relations.
Par exemple, Hérodote parle des Scythes en ces termes :
" Des objets d’or, une charrue et un joug, une sagaris [hache], une coupe tombèrent sur la terre de Scythie "; pour Dumézil, la coupe est le symbole de la souveraineté, la hache le symbole de la guerre, la charrue et le joug les symboles de la production, l’une pour l’agriculture, l’autre pour l’élevage.
Méthode historique : on peut accumuler les documents, tracer des chronologies, interpréter les naissances et les évolutions. Plusieurs auteurs ont retracé l'histoire du svastika, depuis la préhistoire jusqu'au nazisme.
Méthode structurale (Vladimir Propp, Lévi-Strauss) : un structuraliste est attentif aux unités constitutives (toutes jugées pertinentes), au système, aux oppositions, aux transformations d'un code à l'autre, aux interactions entre signifiant et signifié, aux structures inconscientes de la société.
Vous constaterez que les posts les plus complets concernant les symboles sont un peu un mixage de toute (ou une partie) de ces méthodes. Vous avez les cartes en mains si vous souhaitez vous lancer.
Par ailleurs, si vous avez d'autres informations sur "le décodage des symboles", n'hésitez pas à poster à la suite.
Re: Des pistes pour décoder les symboles
Super post.
C'est une vrais passion de décrypter les symboles, mais aussi dans le sens inverse, j'aime écrire, dessiné, donnée des idées toujours dans le sens symbolique.
J'ai la chance d'avoir ma moitié qui fait des peinture et parfois elle glisse quelques idées que je lui donne dans ses peintures.
Ce qui me manque le plus, c'est la culture permettant de décrypter les symboles, alors j'utilise beaucoup la lecture des énergies, mais je sais que sa reste très limité comme méthode.
C'est une vrais passion de décrypter les symboles, mais aussi dans le sens inverse, j'aime écrire, dessiné, donnée des idées toujours dans le sens symbolique.
J'ai la chance d'avoir ma moitié qui fait des peinture et parfois elle glisse quelques idées que je lui donne dans ses peintures.
Ce qui me manque le plus, c'est la culture permettant de décrypter les symboles, alors j'utilise beaucoup la lecture des énergies, mais je sais que sa reste très limité comme méthode.
Invité- Invité
Re: Des pistes pour décoder les symboles
Merci Mateo,
Je te comprends entièrement (je pense en tout cas ^^) quand tu dis que tu utilise la lecture des énergies pour tenter de découvrir un symbole. C'était une de mes méthodes avant de m'intéresser plus profondément aux symboles. Même si c'est bien loin de ma vie chargée maintenant, j'ai l'âme artistique et j'adore le dessin, mes créations ont toujours été sur la base de symboles, déjà existants ou inventés selon les ressentis du moment, voire je pense inspirés.
C'est très fort comme sensation, mais c'est vrai que cela reste très limité quand on cherche le sens plus précis d'un symbole. Plus tard à l'usage de la voyance sur photo que j'ai pu voir de nouveaux symboles que je connaissais peu ou pas, je me servais de mon intuition et éventuellement de mes connaissances pour décoder le symbole afin de voir si cela avait un sens dans la voyance. C'est là que j'ai compris que pour moi me servir uniquement de mes ressentis c'était vraiment trop ardu, il me fallait des bases plus fiables, je me suis donc offert mon premier livre de symboles mais plus axé sur les rêves et au fil du temps j'ai eu d'autres ouvrages plus spécialisés dans le domaine.
En dehors du fait de "simplement" vouloir acquérir des connaissances, il est vrai qu'avoir une réelle motivation dans la découverte des symboles est un réel plus pour aller toujours plus loin et affiner de plus en plus les recherches. Ce qui amène bien souvent, comme je le disais plus haut, vers des ouvrages de plus en plus spécialisés. C'est un peu comme tout, c'est la force de la motivation qui pousse à chercher plus profondément.
Il est vrai qu'en ésotérisme l'usage des symboles est tellement présent que ne pas s'y intéresser limite aussi (je pense) nos propres compréhensions de beaucoup de sujets.
Si d'autres personnes connaissent d'autres méthodes ou autres informations sur le sujet, n'hésitez pas à partager.
Je te comprends entièrement (je pense en tout cas ^^) quand tu dis que tu utilise la lecture des énergies pour tenter de découvrir un symbole. C'était une de mes méthodes avant de m'intéresser plus profondément aux symboles. Même si c'est bien loin de ma vie chargée maintenant, j'ai l'âme artistique et j'adore le dessin, mes créations ont toujours été sur la base de symboles, déjà existants ou inventés selon les ressentis du moment, voire je pense inspirés.
C'est très fort comme sensation, mais c'est vrai que cela reste très limité quand on cherche le sens plus précis d'un symbole. Plus tard à l'usage de la voyance sur photo que j'ai pu voir de nouveaux symboles que je connaissais peu ou pas, je me servais de mon intuition et éventuellement de mes connaissances pour décoder le symbole afin de voir si cela avait un sens dans la voyance. C'est là que j'ai compris que pour moi me servir uniquement de mes ressentis c'était vraiment trop ardu, il me fallait des bases plus fiables, je me suis donc offert mon premier livre de symboles mais plus axé sur les rêves et au fil du temps j'ai eu d'autres ouvrages plus spécialisés dans le domaine.
En dehors du fait de "simplement" vouloir acquérir des connaissances, il est vrai qu'avoir une réelle motivation dans la découverte des symboles est un réel plus pour aller toujours plus loin et affiner de plus en plus les recherches. Ce qui amène bien souvent, comme je le disais plus haut, vers des ouvrages de plus en plus spécialisés. C'est un peu comme tout, c'est la force de la motivation qui pousse à chercher plus profondément.
Il est vrai qu'en ésotérisme l'usage des symboles est tellement présent que ne pas s'y intéresser limite aussi (je pense) nos propres compréhensions de beaucoup de sujets.
Si d'autres personnes connaissent d'autres méthodes ou autres informations sur le sujet, n'hésitez pas à partager.
Re: Des pistes pour décoder les symboles
Très complets ta réponse
Je pense que comme tu l'as dis en ésotérisme que les symboles sont très présent, pour moi c'est même plus fort c"est un "système de communication".
Je me souviens de il y a pas très longtemps j’observai la nature dans son cycle de fonctionnement c'est très complexe (j'en ai compris que une petite partie) et en observant bien tu peux en détacher une sorte de forme symbolique de fonctionnement, que tu peux transposer sur d'autres choses et qui expliques une partie de son grand puzzle.
Bref il y a beaucoup de choses à dire
Je pense que comme tu l'as dis en ésotérisme que les symboles sont très présent, pour moi c'est même plus fort c"est un "système de communication".
Je me souviens de il y a pas très longtemps j’observai la nature dans son cycle de fonctionnement c'est très complexe (j'en ai compris que une petite partie) et en observant bien tu peux en détacher une sorte de forme symbolique de fonctionnement, que tu peux transposer sur d'autres choses et qui expliques une partie de son grand puzzle.
Bref il y a beaucoup de choses à dire
Invité- Invité
Re: Des pistes pour décoder les symboles
Salut,
Grand scorpion devant l’éternel, j’ai toujours été un amoureux des mystères, pour moi les symboles ne sont pas des choses « cachés » par essence, un symbole n’a pas forcément qu’un sens ésotérique ou occulte, mais c’est son emploi, qui lui, peut avoir parfois un sens caché. Les symboles ne sont donc pas obligatoirement tous « codé », mais je pense qu’au contraire ils sont parfois les « clés » permettant la lecture d’un message qui lui peut-être éventuellement codé par un auteur en utilisant entre-autre des symboles. J’entends par là que ce n’est pas le symbole en soit qui est codé, il « est » le code ou la « clé » qui permet de comprendre le message et cela tout autant dans l’ésotérisme que dans l’art ou la psychologie humaine.
Le symbole à souvent en lui plusieurs « sens », un sens propre, un sens parfois purement « symbolique » et un sens « subjectif » ou « culturel » qui varie du lecteur à l’auteur. Les trois « sens », qu’on pourrait simplement dire comme étant : ce qu’il est, ce qu’il représente et ce pour quoi il est perçu ; ces sens donc du symbole peuvent varier totalement, mais parfois, rarement, ils peuvent également être très proches les uns des autres.
Je pense que les symboles, les grands symboles primitif tout particulièrement, et encore plus précisément ceux que l’on utilise non seulement en magie, mais aussi dans l’ensemble des rites religieux, comme par exemple, la croix et le cercle, sont à rapprocher du concept jungien d’archétypes. Ils ont une valeur, une signification propre, qui dépasse la conscience et la compréhension subjective, ils vont « au-delà » de la dichotomie signifiant/signifié, ils « sont » véritablement cette « énergie » dont vous semblez parler, même si ce mot ne me plait pas particulièrement, je préfèrerais dire qu’ils ont une « valeur » ou une « force » égrégorique quasi-universelle, à laquelle on se connecte inconsciemment ou consciemment, c’est le « ressenti » que l’on aura face à un symbole, et plus ce dernier sera proche des symboles primordiaux, des « archétypes », plus sa force sera grande et plus sa signification sera quasi-universelle. Les différentes méthodes décrites plus haut permettent alors juste de « conceptualiser » ce que le symbole primordial porterait en lui, afin de pouvoir l’utiliser « consciemment » et non plus juste en se connectant à cette force égrégorique ou inconsciente.
Mais tous les symboles n’ont pas la même force ou valeur égrégorique, il y a je pense des symboles primordiaux, dont les significations et les utilisations sont quasi-universelle, mais il y en a beaucoup d’autres qui n’ont pas cette valeur objective. L’exemple le plus frappant je pense sont les couleurs (sujet sur lequel Nurash avait déjà initié une réflexion sur l’universalité de leur signification symbolique), dont la signification et l’usage « varie » d’un peuple, d’un époque, d’une spiritualité, à une autre, à ce moment-là, les méthodes de décryptage doivent s’appuyer également sur une analyse de l’environnement et de l’origine de ce ou de celui qui emploie le message. J’entends par là par exemple, qu’un chamane amérindiens, un prêtre bouddhiste, un adepte de haute magie occidental ou un adorateur de kali, parlant du jaune, auront vraisemblablement une compréhension et un usage différent, on ne peut donc ici plus se limiter à une analyse du symbole mais on doit également faire une analyse du messager ou du médium, pour saisir pleinement le message.
Et il y a là, je pense, souvent un biais cognitif, de notre part, à vouloir souvent ramener le symbole utilisé, au référentiel qui est le nôtre, cela « trouble » le message, le rend confus, et nous force parfois à « réinterpréter » un message pour que ce dernier cadre avec notre propre paradigme. Il en découle forcément des erreurs d’interprétation ou de lecture. Si l’on prend par exemple l’hexagramme, la vision de ce dernier comme étant une composition de la représentation symbolique des quatre éléments dans l’alchimie, n’est qu’une signification valable dans le référentiel alchimique, qui ne sera pas forcément la représentation de l’intention de celui qui emploie ce symbole, que ce dernier soit kabbaliste ou aborde ce symbole sous l’éclairage de la culture orientale, dans l’ensemble de ces référentiels, sa signification sera différente, même si « sous-jacent », il y a éventuellement un « concept » derrière ce symbole, qui est « commun » à l’ensemble de ces emplois possibles. Il est cependant beaucoup plus difficile de lui donner une valeur universelle, si je m’essayais à cette exercice difficile et hasardeux je dirais que l’hexagramme est avant tout un symbole de l’équilibre, et peut-être est-ce également le concept sous-jacent qui fait qu’il est utilisé pour représenter le chakra du cœur, mais peut-être est-ce que cela a, dans ce contexte, une toute autre signification, et que je suis en train de transformer ce symbole en ce qu’il n’est pas dans la représentation d’Anahata, n’ayant pour ma part que peu d’atomes crochus avec les spiritualités orientales, le piège il est évidemment là dans la lecture et l’interprétation des symboles.
C’est pourquoi je pense sincèrement qu’on ne peut pas, sauf dans quelques cas, s’affranchir du contexte ou du référentiel dans lequel le symbole est utilisé. Les analyses comparatives, analytiques, descriptives, historiques ou structurales permettent donc « peut-être », de dégager un sens générique plus objectif que la simple méthode empathique ou la méthode éthologique, mais il ne faut pas, à mon avis, en tirer de conclusion trop hâtive sur l’universalité quelconque d’un symbole, universalité qui est à mon avis totalement questionnable pour la grande majorité des symboles, sauf quelques rares exception qui s’exprime peut-être à travers l’inconscient collectif, nos rêves et notre propre psyché.
Je pense que le plus important dans l’analyse et le décryptage d’un symbole, c’est de toujours le ramener dans le contexte et le référentiel dans lequel il est utilisé, les analyses qui digressent de ces référentielles ou contextes, peuvent être des clés des lectures, mais bien souvent également des pièges, dès lors que notre esprit entre en résonnance cognitive avec un « sens » signifié qui nous parle ou nous plait plus particulièrement qu’un autre.
En ce qui concerne la méthode allégorique, c’est la plus complexe je pense, car « tout » peut alors littéralement devenir symbole, et c’est malheureusement pour nous un état de fait de la pensée et des messages ésotériques, qui d’une certaine manière, par définition seront occulté par ces jeux de substitutions, de codages spécifiques et de symbolisme ou il faut effectivement avoir la clé de lecture, cette dernière pouvant être relativement complexe à découvrir en partant de rien.
Un symbole simple et primaire, un archétype, peut également être utilisé comme métaphore ou allégorie, mais ce n’est plus alors forcément dans sa signification égrégorique primaire, par exemple on peut utiliser le cercle pour symboliser le soleil, mais on peut tout autant l’utiliser pour symboliser la lune ou n’importe quel planète y compris la terre, ce que le cercle symbolise également dans un rituel magique, pour autant ce n’est pas là je pense son sens, ni sa signification symbolique « primaire », celle à laquelle l’opérateur fait consciemment ou inconsciemment appel dans les rites ou ce symbole est utilisé.
Il est certainement relativement difficile finalement de conceptualiser totalement cette signification primaire et empathique de ces « archétypes », c’est pour cela que cette « sensation », cette « lecture énergétique » nous semble limité ou « peu précise », mais elle n’est pas je pense, moins ou plus précise qu’une autre méthode, elle est juste plus difficile à régurgiter et à communiquer. Pour autant elle est certainement beaucoup plus fiable sous certains aspect, en particulier dans l’analyse des archétypes, on aura beau avoir la volonté artistique ou ésotérique de donner au cercle la signification du « feu » et de l’ « expansion », on ne pourra pas aller à l’encontre de ce que le cercle « est » dans sa nature profonde et cette association allégorique n’aura de sens que pour celui qui en fait usage, dans un cadre rituel elle sera je pense d’ailleurs, peu efficace. En ce sens, cette méthode « empathique », instinctive, d’interprétation, sera parfois la plus efficace de toute, même si son efficacité sera, je pense, toujours relative à la force égrégorique, à l’universalité relative, du symbole.
Ce que j’essaye péniblement de dire finalement, c’est que si « tout est symbole », surtout en ésotérisme, c’est-à-dire que tout est potentiellement avec un sens signifié différent du sens signifiant, je crois qu’il existe réellement des signification quasi-universelle et des symboles primordiaux ou des archétypes, dont on ne peut totalement s’affranchir, même avec la meilleur volonté du monde, et que ce sont à ces derniers tout particulièrement que l’opérateur se connecte consciemment ou non en magie opérative, pour ces derniers toutes les méthodes permettront de mieux les appréhender. Pour tous les autres symboles, ils n’ont de sens, et les méthodes qui permettent de les appréhender également, que dans le référentiel ou ils sont utilisés et c’est souvent par là qu’il faut commencer pour les comprendre.
Grüssi
Abra
Grand scorpion devant l’éternel, j’ai toujours été un amoureux des mystères, pour moi les symboles ne sont pas des choses « cachés » par essence, un symbole n’a pas forcément qu’un sens ésotérique ou occulte, mais c’est son emploi, qui lui, peut avoir parfois un sens caché. Les symboles ne sont donc pas obligatoirement tous « codé », mais je pense qu’au contraire ils sont parfois les « clés » permettant la lecture d’un message qui lui peut-être éventuellement codé par un auteur en utilisant entre-autre des symboles. J’entends par là que ce n’est pas le symbole en soit qui est codé, il « est » le code ou la « clé » qui permet de comprendre le message et cela tout autant dans l’ésotérisme que dans l’art ou la psychologie humaine.
Le symbole à souvent en lui plusieurs « sens », un sens propre, un sens parfois purement « symbolique » et un sens « subjectif » ou « culturel » qui varie du lecteur à l’auteur. Les trois « sens », qu’on pourrait simplement dire comme étant : ce qu’il est, ce qu’il représente et ce pour quoi il est perçu ; ces sens donc du symbole peuvent varier totalement, mais parfois, rarement, ils peuvent également être très proches les uns des autres.
Je pense que les symboles, les grands symboles primitif tout particulièrement, et encore plus précisément ceux que l’on utilise non seulement en magie, mais aussi dans l’ensemble des rites religieux, comme par exemple, la croix et le cercle, sont à rapprocher du concept jungien d’archétypes. Ils ont une valeur, une signification propre, qui dépasse la conscience et la compréhension subjective, ils vont « au-delà » de la dichotomie signifiant/signifié, ils « sont » véritablement cette « énergie » dont vous semblez parler, même si ce mot ne me plait pas particulièrement, je préfèrerais dire qu’ils ont une « valeur » ou une « force » égrégorique quasi-universelle, à laquelle on se connecte inconsciemment ou consciemment, c’est le « ressenti » que l’on aura face à un symbole, et plus ce dernier sera proche des symboles primordiaux, des « archétypes », plus sa force sera grande et plus sa signification sera quasi-universelle. Les différentes méthodes décrites plus haut permettent alors juste de « conceptualiser » ce que le symbole primordial porterait en lui, afin de pouvoir l’utiliser « consciemment » et non plus juste en se connectant à cette force égrégorique ou inconsciente.
Mais tous les symboles n’ont pas la même force ou valeur égrégorique, il y a je pense des symboles primordiaux, dont les significations et les utilisations sont quasi-universelle, mais il y en a beaucoup d’autres qui n’ont pas cette valeur objective. L’exemple le plus frappant je pense sont les couleurs (sujet sur lequel Nurash avait déjà initié une réflexion sur l’universalité de leur signification symbolique), dont la signification et l’usage « varie » d’un peuple, d’un époque, d’une spiritualité, à une autre, à ce moment-là, les méthodes de décryptage doivent s’appuyer également sur une analyse de l’environnement et de l’origine de ce ou de celui qui emploie le message. J’entends par là par exemple, qu’un chamane amérindiens, un prêtre bouddhiste, un adepte de haute magie occidental ou un adorateur de kali, parlant du jaune, auront vraisemblablement une compréhension et un usage différent, on ne peut donc ici plus se limiter à une analyse du symbole mais on doit également faire une analyse du messager ou du médium, pour saisir pleinement le message.
Et il y a là, je pense, souvent un biais cognitif, de notre part, à vouloir souvent ramener le symbole utilisé, au référentiel qui est le nôtre, cela « trouble » le message, le rend confus, et nous force parfois à « réinterpréter » un message pour que ce dernier cadre avec notre propre paradigme. Il en découle forcément des erreurs d’interprétation ou de lecture. Si l’on prend par exemple l’hexagramme, la vision de ce dernier comme étant une composition de la représentation symbolique des quatre éléments dans l’alchimie, n’est qu’une signification valable dans le référentiel alchimique, qui ne sera pas forcément la représentation de l’intention de celui qui emploie ce symbole, que ce dernier soit kabbaliste ou aborde ce symbole sous l’éclairage de la culture orientale, dans l’ensemble de ces référentiels, sa signification sera différente, même si « sous-jacent », il y a éventuellement un « concept » derrière ce symbole, qui est « commun » à l’ensemble de ces emplois possibles. Il est cependant beaucoup plus difficile de lui donner une valeur universelle, si je m’essayais à cette exercice difficile et hasardeux je dirais que l’hexagramme est avant tout un symbole de l’équilibre, et peut-être est-ce également le concept sous-jacent qui fait qu’il est utilisé pour représenter le chakra du cœur, mais peut-être est-ce que cela a, dans ce contexte, une toute autre signification, et que je suis en train de transformer ce symbole en ce qu’il n’est pas dans la représentation d’Anahata, n’ayant pour ma part que peu d’atomes crochus avec les spiritualités orientales, le piège il est évidemment là dans la lecture et l’interprétation des symboles.
C’est pourquoi je pense sincèrement qu’on ne peut pas, sauf dans quelques cas, s’affranchir du contexte ou du référentiel dans lequel le symbole est utilisé. Les analyses comparatives, analytiques, descriptives, historiques ou structurales permettent donc « peut-être », de dégager un sens générique plus objectif que la simple méthode empathique ou la méthode éthologique, mais il ne faut pas, à mon avis, en tirer de conclusion trop hâtive sur l’universalité quelconque d’un symbole, universalité qui est à mon avis totalement questionnable pour la grande majorité des symboles, sauf quelques rares exception qui s’exprime peut-être à travers l’inconscient collectif, nos rêves et notre propre psyché.
Je pense que le plus important dans l’analyse et le décryptage d’un symbole, c’est de toujours le ramener dans le contexte et le référentiel dans lequel il est utilisé, les analyses qui digressent de ces référentielles ou contextes, peuvent être des clés des lectures, mais bien souvent également des pièges, dès lors que notre esprit entre en résonnance cognitive avec un « sens » signifié qui nous parle ou nous plait plus particulièrement qu’un autre.
En ce qui concerne la méthode allégorique, c’est la plus complexe je pense, car « tout » peut alors littéralement devenir symbole, et c’est malheureusement pour nous un état de fait de la pensée et des messages ésotériques, qui d’une certaine manière, par définition seront occulté par ces jeux de substitutions, de codages spécifiques et de symbolisme ou il faut effectivement avoir la clé de lecture, cette dernière pouvant être relativement complexe à découvrir en partant de rien.
Un symbole simple et primaire, un archétype, peut également être utilisé comme métaphore ou allégorie, mais ce n’est plus alors forcément dans sa signification égrégorique primaire, par exemple on peut utiliser le cercle pour symboliser le soleil, mais on peut tout autant l’utiliser pour symboliser la lune ou n’importe quel planète y compris la terre, ce que le cercle symbolise également dans un rituel magique, pour autant ce n’est pas là je pense son sens, ni sa signification symbolique « primaire », celle à laquelle l’opérateur fait consciemment ou inconsciemment appel dans les rites ou ce symbole est utilisé.
Il est certainement relativement difficile finalement de conceptualiser totalement cette signification primaire et empathique de ces « archétypes », c’est pour cela que cette « sensation », cette « lecture énergétique » nous semble limité ou « peu précise », mais elle n’est pas je pense, moins ou plus précise qu’une autre méthode, elle est juste plus difficile à régurgiter et à communiquer. Pour autant elle est certainement beaucoup plus fiable sous certains aspect, en particulier dans l’analyse des archétypes, on aura beau avoir la volonté artistique ou ésotérique de donner au cercle la signification du « feu » et de l’ « expansion », on ne pourra pas aller à l’encontre de ce que le cercle « est » dans sa nature profonde et cette association allégorique n’aura de sens que pour celui qui en fait usage, dans un cadre rituel elle sera je pense d’ailleurs, peu efficace. En ce sens, cette méthode « empathique », instinctive, d’interprétation, sera parfois la plus efficace de toute, même si son efficacité sera, je pense, toujours relative à la force égrégorique, à l’universalité relative, du symbole.
Ce que j’essaye péniblement de dire finalement, c’est que si « tout est symbole », surtout en ésotérisme, c’est-à-dire que tout est potentiellement avec un sens signifié différent du sens signifiant, je crois qu’il existe réellement des signification quasi-universelle et des symboles primordiaux ou des archétypes, dont on ne peut totalement s’affranchir, même avec la meilleur volonté du monde, et que ce sont à ces derniers tout particulièrement que l’opérateur se connecte consciemment ou non en magie opérative, pour ces derniers toutes les méthodes permettront de mieux les appréhender. Pour tous les autres symboles, ils n’ont de sens, et les méthodes qui permettent de les appréhender également, que dans le référentiel ou ils sont utilisés et c’est souvent par là qu’il faut commencer pour les comprendre.
Grüssi
Abra
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