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Médecine chinoise traditionnelle : Qu'est-ce que c'est? Comment choisir son thérapeute?

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Médecine chinoise traditionnelle : Qu'est-ce que c'est? Comment choisir son thérapeute? Empty Médecine chinoise traditionnelle : Qu'est-ce que c'est? Comment choisir son thérapeute?

Message par topa Mer 4 Fév 2009 - 10:53

La médecine chinoise existe au moins depuis 3000 ans. Elle est née de l’observation de la nature et de l’expérience de nombreuses générations de médecins et de savants. Sa rigueur et sa structure en fait une science à part entière.

C'est un ensemble de théories (explications) et de pratiques (techniques) concernant l'humain et sa santé. Sa relative complexité, pour les Occidentaux, tient surtout aux faits suivants :

* Elle possède sa propre base philosophique et symbolique.
* Elle voit le corps, le coeur et l'esprit comme un tout.
* Elle s'est développée non pas en disséquant des morts, mais en observant des vivants. Par conséquent, rien n'est vu comme statique.
* Elle considère les phénomènes non pas en soi, mais à partir des relations entre eux. Par conséquent, la santé d'un organe ou d'une personne dépend de multiples facteurs tous reliés entre eux.
* Elle utilise plusieurs termes usuels dans un sens différent de ce qu'on entend habituellement en Occident.

Pour assurer le bien-être chez les humains, la Médecine traditionnelle chinoise a recours à cinq pratiques principales. Chacune est présentée plus en détail dans nos fiches.

* L’acupuncture et la moxibustion
* La pharmacopée chinoise (herbes médicinales)
* La diététique chinoise
* Le massage Tui Na/ An Mo
* Les exercices énergétiques: Le Qi Gong

Les personnes formées aux cinq pratiques portent le titre de docteur en médecine chinoise. Seulement formées à l'une ou à quelques-unes de ces pratiques, elles portent un titre spécifique, acupuncteur, herboriste, etc.

Si la Médecine traditionnelle chinoise a comme premier objectif d'entretenir la santé et de prévenir les maladies, elle permet aussi de soigner la plupart des problèmes de santé (ponctuels ou chroniques), dont les troubles cutanés, musculosquelettiques, neurologiques, digestifs, respiratoires, génitaux, hormonaux, de même que certaines infections et certains problèmes émotifs.
Sans nier l’intérêt de certains examens modernes, un praticien de médecine chinoise bien formé peut, par exemple, à travers la prise du pouls radial détecter certains déséquilibres bien avant qu’ils soient décelables par les moyens modernes.


Voici une vidéo qui explique les quatre piliers de la médecine chinoise:




Entre philosophie et science

La médecine chinoise s’appuie sur des théories fondamentales dont les plus connues en occident sont le Yin Yang, les cinq mouvements (Wu Xing) et l’énergie (Qi). Il est impossible de définir correctement ces concepts complexes et profonds en quelques mots. Ces trois idées sont à la base de la philosophie mais aussi de la culture d’une des plus importantes et anciennes civilisations. Le Yin Yang, les cinq éléments et le Qi sont une manière d’expliquer le fonctionnement de l’univers, de la nature et de l’homme. Attention, il ne s’agit de concept poussiéreux et superstitieux. La physique et la science modernes utilisent de plus en plus ces notions ou bien confirment régulièrement leur bien fondé. En fait de plus en plus de scientifiques redécouvrent aujourd’hui ce que les sages chinois avaient découvert, il y a 3000 à 5000 ans en observant la Nature.

Nous pourrions dire que le Yin Yang sont deux polarités complémentaires dont la confrontation provoque la naissance, puis le développement, puis l’apogée puis le déclin et enfin la renaissance de toutes choses vivantes et dynamiques dans l’univers. C’est l’éternel va-et-vient des transformations qui anime la vie.

Chez un individu en bonne santé, les mouvements du Yin et du Yang sont harmonieux. Mais quand l'un vient à faiblir ou à manquer, l'autre prend le dessus et se manifeste par les symptômes qui lui sont propres. Un manque de Yang, par exemple, se traduit par un teint pâle, de la frilosité, des selles molles (pâleur, froideur, mollesse étant des caractéristiques Yin).

Mentionnons que, selon la pensée chinoise, les principes du Yin et du Yang se retrouvent tant dans la nature (eau/feu, nuit/jour, contraction/expansion, etc.), que dans l'anatomie (interne/externe, Foie/Coeur, gauche/droite, etc.) et dans la physiologie (femme/homme, structure/fonction, descente/montée, etc.).


Chaque individu possède une constitution particulière où les différents éléments interagissent selon un équilibre qui lui est propre. C'est ce qu'on appelle le terrain. Chez deux personnes, un même symptôme (mal de tête ou difficulté à digérer, par exemple) ne relève pas, a priori, d'une même cause, mais d'un déséquilibre propre à chacune d’elles.

Le terme cinq éléments est une très mauvaise traduction de Wu Xing, qu’il est préférable de traduire par cinq mouvements qui rend mieux l’idée originale. Ce sont cinq types de dynamismes, de natures, de qualités qui servent à étudier les caractéristiques spécifiques de toutes manifestations ainsi que leurs interactions entre elles. On parle du mouvement Bois, Feu, Terre, Métal, Eau. Au niveau médical chacun est en relation avec des organes, des sens, des tissus, des émotions, etc… C’est une manière de classifiée les choses et de comprendre leur interrelations.

Selon la vision chinoise, qui est à la fois symbolique et pratique, tout dans l'univers est mû par une force fondamentale, une énergie appelée Qi (prononcé tchi). C'est le Qi qui fait circuler les électrons dans les atomes. Il permet aux cellules de se multiplier, aux plantes et aux êtres vivants de croître. Il anime aussi le mouvement du vent et des astres. On ne peut le voir ni le toucher. Comme c’est le cas pour l'électricité, on ne peut que percevoir ses effets. Chez l'humain, le Qi soutient tant les fonctions du corps que de l'esprit : marcher, digérer, penser, ressentir en sont toutes des manifestations.

Ce flux énergétique continu circule dans tout le corps au moyen d’un réseau immatériel, mais précis, de voies appelées méridiens, sur le trajet desquels se trouvent des points cutanés, appelés points d'acupuncture, d’où l’on peut en régulariser le débit.

Lorsque le Qi est en quantité suffisante et circule bien, l'organisme est en santé, la pensée claire et les réflexes vifs. Lorsqu'il stagne, est contraint ou bloqué, on se sent faible, lourd et sans vitalité. Le Qi peut être perturbé par plusieurs facteurs, internes ou externes.



Une médecine efficace

Il faut comprendre que la médecine chinoise n’est pas une médecine de confort ni de loisir. Elle n’est en aucun point comparable aux soins de détente effectués dans les centres de thalassothérapie. Cette médecine est utilisée actuellement par au moins un quart de la population mondiale, à travers toute l’Asie certes, mais aussi à travers le monde entier où elle prouve tous les jours qu’elle est une médecine remarquablement efficace, même pour des maladies graves. La population chinoise avec des conditions de vie et des moyens technologiques bien inférieurs aux grands pays industrialisés a la même espérance de vie que ceux-ci.

A titre d’exemple, il a été prouvé scientifiquement que QING HAO (herba Artemisiae Apiaceae), une plante chinoise, est plus efficace que la Nivaquine dans le traitement du paludisme. QING DAI (levis Indigo pulverata) selon des recherches pointues de scientifiques français, anglais et allemands (« le quotidien du médecin – n° 6486 28/04-99), aurait une action très performante dans la leucémie myéloïde chronique. Ceci ne représente qu’une minuscule goutte d’eau parmi l’immense possibilité de la médecine chinoise à travers sa pharmacopée, sa diététique, son acupuncture ou son massage.



]Voici une vidéo sur la médecine chinoise à l'aide des personnes (pré)cancéreuses



Médecine occidentale et médecine chinoise :Qu’elles sont leurs différences et qu’elle est la plus performante ?

Il s’agit d’un débat sensible. Il y a de nombreuses différences et surtout de nombreuses façons d’aborder le sujet. Plaçons-nous dans une optique pragmatique. La médecine occidentale dont le plus beau fleuron est la chirurgie est née sur les champs de batailles européens, et ceci n’est pas une plaisanterie. Elle prend aussi son origine dans l’avènement de la chimie au moment de l’essor du matérialisme. C’est une médecine dont le grand intérêt réside dans la réparation, l’urgence, l’aigu, le symptomatique. La médecine chinoise est plutôt une médecine de terrain, de prévention, de chronicité, d’étiologie. Elle est née de la vision taoïste qui recherche l’harmonie, l’équilibre, le juste milieu, qui vise à renforcer ce qui est précieux plutôt que d’aller contre ce qui va mal. La médecine moderne est une médecine « anti », la médecine chinoise est une médecine « pro ».

Ainsi, par exemple, si vous avez un arrêt cardiaque, c’est la médecine occidentale qui vous sauvera la vie, mais c’est la médecine chinoise qui aurait pu vous éviter d’avoir cette crise cardiaque ou d’en avoir une autre. La médecine occidentale est meilleure pour les maladies organiques, palpables, mesurables, la médecine chinoise est meilleure pour les maladies fonctionnelles qui n’ont pas d’explication selon la science moderne (car ses moyens sont limités à l’observation physique). Un autre exemple, si vous êtes diabétique insulino-dépendant, la médecine moderne, donne de l’insuline, ce qui empêche le coma diabétique et la mort. Ceci est remarquable. La médecine chinoise ne peut pas faire cela, mais peut permettre de prendre moins d’insuline et donc de combattre à long terme les multiples effets secondaires de cette substance et donc de prolonger la vie du malade et lui donner un meilleur confort de vie. Ceci est aussi remarquable.

La médecine occidentale et la médecine chinoise sont 100 % compatibles, les associer permettrait de faire de grands progrès sur le plan médical et humain.



Les modes du diagnostic


Le praticien en médecine chinoise cherche non pas à poser un diagnostic, mais à percevoir les perturbations susceptibles de mener à une disharmonie. La seule façon de déterminer ces perturbations est d'observer leurs manifestations. Le praticien procède donc par observations, questions et palpations.

Observations. Teint, yeux, ongles, cheveux, respiration, haleine, son de la voix, état émotif, selles et autres excrétions, etc. La langue est une source majeure de renseignements, tant par son volume, sa forme, sa couleur, sa texture, que par les caractéristiques de l'enduit blanchâtre qui la recouvre.

Questions. Sur les malaises, les antécédents familiaux, le sommeil, l'appétit, etc.

Palpations. Texture, humidité, température, élasticité de la peau; tonus musculaire; excitabilité des tissus, etc. Le pouls est également un mode de diagnostic fondamental, car il permet de mesurer le Qi. En effet, c'est grâce à la force du Qi que le sang circule. Le praticien prend trois pouls différents, avec trois doigts, sur l'artère de chaque poignet. Le premier pouls donne de l'information sur la poitrine, le deuxième sur le haut de l'abdomen, le troisième sur le bas de l'abdomen. Au poignet gauche correspondent les organes Yin et au poignet droit, les organes Yang. On attribue différentes caractéristiques aux pouls (rapide, flottant, percutant, faible, vigoureux, fluide, noyé, etc.), chacune étant un indice. Certaines caractéristiques peuvent se combiner.

Pour interpréter les données, le praticien doit se référer aux huit principes directeurs : Yin/Yang, Chaud/Froid, Vide/Excès, Intérieur/Extérieur. Avec ceux-ci, il pourra déterminer les caractéristiques (état, qualité, situation) du Qi dans le corps. Ces caractéristiques lui permettront de prescrire le ou les traitements les plus appropriés, que ce soit un changement de diète, un traitement d’acupuncture ou la pratique d’exercices de Qi Gong, par exemple.
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Message par topa Mer 4 Fév 2009 - 10:53

Maladies pour lesquelles la médecine chinoise est efficace.


1- MALADIES DU SYSTEME DIGESTIF

Inappétence - Boulimie
Gaz intestinaux, flatulences, aérophagie
Digestion difficile ou lourde
Mauvaise haleine
Hernie hiatale
Colite spasmodique
Constipation
Diarrhée
Maladie de Crohn
Hépatite
Cholécystite
Lithiase biliaire
Vomissement, nausée
Gastrite
Ulcère de l’estomac ou du duodénum
Etc.

2- MALADIES DU SYSTEME RESPIRATOIRE
Toux
Bronchite
Asthme
Rhume
Sinusite
Rhinite
Laryngite - Pharyngite
Allergies
Etc.

3- MALADIES DU SYSTEME CARDIO-VASCULAIRE & circulatoire
Angor
Séquelles d’infarctus du myocarde
Palpitations cardiaques
Hypotension artérielle
Hypertension artérielle
Maladies de Raynaud
Artérite oblitérante
Insuffisance veineuse
Jambes lourdes et douloureuses
Varices
Hémorroïdes
Etc.

4- MALADIES RHUMATOLOGIQUES
Fracture osseuses
Tendinite
Tennis elbow
Entorse
Syndrome carpien
Cervicalgie
Polyarthrite rhumatoïde
Rhumatisme chronique
Arthrose
Ostéoporose
Sciatique
Lombalgie
Dorsalgie
Torticolis
Traumatisme
Etc.

5- MALADIES DERMATOLOGIQUES
Acné
Eczéma
Allergie cutanée
Prurit
Urticaire
Zona
Psoriasis
Furoncle
Herpès
Vitiligo
Etc.

6- MALADIES GYNECOLOGIQUES
Dysménorrhée
Aménorrhée
Règles abondantes
Syndrome menstruel
Ménopause
Kyste du sein
Fibrome de l’utérus
Kyste ovarien
Mycose vaginale
Leucorrhée
Vaginite
Endométriose
Trouble du cycle menstruel
Etc.

7- MALADIES DU SYSTEME REPRODUCTEUR
Stérilité masculine ou féminine
Azoospermie - Oligospermie
Impuissance
Ejaculation précoce
Spermatorrhée
Frigidité
Baisse de la libido
Trouble de la prostate
Hydrocèle
Epididymite.
Etc.

8- MALADIES DU SYSTEME URINAIRE
Cystite
Incontinence urinaire
Enurésie
Dysurie
Oligurie
Anurie
Hématurie
Urines troubles
Lithiase rénale
Colique néphrétique
Nycturie

9- MALADIES ENDOCRINIENNES, METABOLIQUES ET SANGUINES
Anémie
Hypoglycémie
Diabète
Hypothyroïdie
Hyperthyroïdie
Hypercholestérolémie
Triglycérides élevés
Goutte
Goitre
Ménopause
Andropause
Purpura
Leucémie
Obésité
Œdème
Etc.

10- MALADIES PSYCHOLOGIQUES
Dépression mentale
Insomnie
Réveils fréquents
Cauchemars
Phobie
Tristesse
Anxiété – Angoisse
Agitation
Stress
Nervosité
Pertes de mémoire
Névrose
Psychose
Hystérie
Etc.

11- MALADIES OCULAIRES
Photophobie
Blépharite
Conjonctivite
Sécheresse oculaire
Prurit oculaire
Larmoiement
Myopie
Presbytie
Baisse de l’acuité visuelle
Glaucome
Strabisme
Etc.

12- MALADIES AUDITIVES
Acouphènes
Surdité
Baisse de l’acuité auditive
Otite
Syndrome de Ménière
Prurit auriculaire
Etc…

Rappelons-nous qu’il s’agit ici que d’une liste très limitée et que la médecine chinoise à défaut de tout soigner peu améliorer et être utile dans pratiquement tous types de maladies des plus simples aux plus complexe : grippe, fatigue, tabagie, mononucléose infectieuse, fibromyalgie, épilepsie, sclérose en plaque, cancer, etc.
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Message par topa Mer 4 Fév 2009 - 11:12

Choisir son thérapeute




Rappelons que la médecine chinoise comprend un ensemble de méthodes thérapeutiques, parmi lesquelles figurent traditionnellement l’acupuncture (Zhen Jiu), la pharmacopée (Zhong Yao), le massage (Tui Na), les exercices (Qi Gong), l’aide psychologique (Xin Li) ou encore les conseils d’hygiène de vie (Yang Sheng : diététique, sexologie etc). Il est normal, et même souhaitable, qu’un ethnomédecin maîtrise plusieurs de ces méthodes, qui sont complémentaires et reposent sur une même logique diagnostique. Cependant, rares sont ceux qui en Occident pratiquent ces différentes branches : l’acupuncture y a longtemps fait cavalier seul, et la pharmacopée chinoise, qui reste pourtant la méthode essentielle du système médical chinois, ne compte encore que quelques centaines de praticiens.

Ce qui est hélas moins rare, c’est de rencontrer des praticiens qui cumulent des spécialités issues de systèmes médicaux totalement différents : allopathie, médecine chinoise, homéopathie, chiropractie, magnétisme, etc. Autant de sciences ou de pratiques respectables, mais qui reposent sur des approches très différentes du malade et de la maladie.


Les consultations

En médecine chinoise, chaque patient est une entité, une présence à laquelle le praticien se doit de consacrer toute son écoute. Le Nei Jing dit que la consultation d’un malade doit se dérouler en tête-à-tête, “ en prenant soin de fermer les portes et les fenêtres ”, tant il est vrai que certains entretiens peuvent tenir de la confession. C’est pourquoi un praticien consciencieux devrait recevoir normalement un seul patient à la fois. Il est concevable qu’il dispose de deux salles de traitement, de manière à pouvoir faire face à d’éventuelles urgences, ou encore afin de permettre au patient de se reposer et se rhabiller tranquillement pendant qu’il reçoit le patient suivant. Au-delà, on entre dans une logique de traitement qui n’est plus véritablement traditionnelle. Notons d’ailleurs qu’une telle manière de pratiquer est fort éloignée de ce que l’on peut observer en Chine aujourd’hui, où la médecine chinoise et l’acupuncture sont exercées en milieu hospitalier. Les chinois n’ont sans doute pas le choix. En Occident, par contre, nous avons tout le loisir de pratiquer cette médecine sous la forme qualitative qui était la sienne, il y a quelques 2500 ans, lorsqu’elle était la médecine des empereurs. Si certains praticiens de chez nous travaillent à la chaîne dans des boxes séparés par un simple rideau, laissant parfois aux patients le soin de retirer eux-mêmes les aiguilles lorsque sonne la minuterie, c’est bien par choix commercial de leur part, et non la preuve d’une quelconque efficacité : un médecin réellement efficace ne voit pas s’accumuler ni revenir indéfiniment ses patients. Après le mythe de l’efficacité, attention à celui de la salle d’attente bien remplie...


La durée des consultations est un autre sujet à question. Est-il normal de ne rester que cinq minutes en consultation, ou de n’en ressortir qu’au bout d’une heure et demie ? En fait, il est difficile de fixer une norme à ce sujet, car la durée d’une consultation dépend de beaucoup de paramètres. Disons que, pose d’aiguilles incluse, une consultation de médecine chinoise peut osciller entre une demi-heure et une heure. En dessous de cette fourchette, cela semble un peu expéditif, et au-delà, pas très efficace. Mais encore une fois, la durée n’est pas un critère absolu de qualité des soins : tout dépend de la façon dont ce temps est rempli.

Il en va de même pour la fréquence des consultations et des traitements : celle-ci peut varier énormément en fonction des pathologies. Les maladies aiguës demandent des interventions rapprochées et la révision fréquente du diagnostic, tandis que les maladies chroniques se traitent sur un plus long terme et autorisent un suivi plus espacé. Une angine ou une forte fièvre traitées en acupuncture peuvent par exemple nécessiter trois à quatre séances par jour. Hormis de telles situations, dans nos pays, l’espacement moyen des consultations d’acupuncture est couramment de l’ordre de une à deux fois par semaine au début, après quoi les séances peuvent être progressivement espacées une fois les premiers signes d’amélioration obtenus. A la différence de l’acupuncture, la pharmacopée est une méthode qui laisse davantage d’autonomie au patient, et autorise des consultations moins fréquentes.

Quelque soit la fréquence des consultations, celle-ci ne doivent pas faire l’objet d’une pratique routinière. On peut reconnaître un bon praticien au fait qu’il réévalue à chaque consultation la situation clinique de son patient. Trop de praticiens ont tendance à renouveler leur prescription ou leur séance d’acupuncture sans se donner la peine de réexaminer leur patient. Au cours de cet examen, il y a généralement la fameuse prise du pouls sur l’artère radiale, ce “ pouls chinois ” qui fait l’une des spécificités du diagnostic en médecine chinoise. Cette technique requiert un minimum de concentration de la part du praticien. C’est pourquoi, pour être sérieuse, la prise du pouls doit se faire en silence, et dure parfois quelques minutes.


Tout médecin qui se respecte commence par poser un diagnostic avant de prescrire un traitement. Un bon praticien doit en outre être capable d’expliquer son problème au patient, et le faire en termes simples : ce qui se conçoit clairement s’énonce de même. Le fait qu’il s’agisse de médecine chinoise ne doit pas être une excuse pour éviter de fournir des explications : il me semble que le mécanisme d’une congestion de l’énergie, d’un vide de Yin ou d’une accumulation de mucosités n’est pas moins accessible à notre raison occidentale que les résultats d’analyses de nos laboratoires. C’est une simple question de pédagogie, et de respect du patient. Dans le même ordre d’idées, un bon praticien devrait, à partir du moment où il a compris le problème de son patient, pouvoir donner quelques conseils associés au traitement, afin d’offrir au patient la possibilité de participer activement à sa propre guérison.


L’acupuncture

S’il vous prenait un jour l’idée d’expérimenter coup sur coup une dizaine d’acupuncteurs différents, vous seriez sans doute étonnés de constater que vous n’aurez à peu près jamais droit au même traitement. Et sans doute, pas toujours au même diagnostic non plus. Ceci est dû à la multiplicité des théories existant en acupuncture, ainsi qu’à la grande tolérance d’action de cette méthode. Partant de là, il est assez difficile de définir une pratique correcte de cette discipline. Essayons simplement de nous en tenir aux généralités.

Un traitement d’acupuncture traditionnelle comporte généralement peu de points. Disons que la moyenne se situe autour de 3 à 10 aiguilles par séance. Certains traitements d’urgence peuvent nécessiter davantage de points. Du côté des extrêmes, il existe des praticiens “ unicistes ” qui ne piquent qu’un seul point par séance. D’autres couvrent littéralement leurs patients d’aiguilles, les allongeant éventuellement dessus pour faire la même chose au verso. Ces deux formes de pratique ont chacune un mode d’action limité, et ne sont pas traditionnelles.


Il faut également se souvenir que les points d’acupuncture ne sont que des projection en surface, des puits permettant de gagner des trajets principaux d’énergie qui, eux, circulent bien en profondeur, au niveau des os et des muscles. L’insertion des aiguilles doit donc être généralement assez profonde pour s’avérer efficace. Beaucoup de points ont une profondeur variant entre 5 mm et 1,5 cm. Cependant, certains praticiens ne font que “ picoter ” les aiguilles en surface de la peau, les laissant pendre, et parfois tomber toutes seules (ce sont souvent les mêmes qui mettent beaucoup d’aiguilles. Par compensation sans doute ?). En agissant ainsi, ils ne peuvent manipuler les aiguilles, et donc agir sur l’énergie. Il faut donc s’attendre à ce que les résultats d’une telle pratique soient, eux aussi, superficiels et peu durables.

La manipulation des aiguilles est l’un des critères importants permettant d’obtenir une action thérapeutique en acupuncture. Un praticien consciencieux “ travaille ” généralement les aiguilles qu’il met en place. Soit en les manipulant, soit en y appliquant des techniques particulières, comme la moxibustion (cautériser ou chauffer les points), la saignée, les ventouses, etc. Ces manipulations sont cependant plus douces que celles appliquées en Chine, car les patients occidentaux n’y sont pas habitués, et s’avèrent généralement assez réactifs et sensibles. Il n’est vraiment pas besoin, chez nous, de recourir à des méthodes aussi spectaculaires ou traumatisantes que les transfixions ou les cautérisations avec formation de cloques, pour obtenir un effet thérapeutique.


La pharmacopée

Bien que cette méthode soit la plus importante du système médical chinois, rares sont les praticiens occidentaux qui la connaissent et l’utilisent. De plus, l’importation des plantes médicinales chinoises n’est pas chose aisée : allez faire comprendre aux douaniers que la graine de Cannabis n’est pas une drogue dure, mais un laxatif doux...

Plus encore que pour l’acupuncture, la pharmacopée demande un diagnostic précis (toujours en médecine chinoise, s’entend), car les risques d’effets secondaires en cas de traitement inadapté sont plus grands.

Pour simplifier, disons qu’il y a deux principaux types de prescripteurs de pharmacopée chinoise : ceux qui connaissent les plantes, et ceux qui se fient aux seules indications des laboratoires fabricants de formules. Un bon praticien de pharmacopée doit être capable de composer par lui-même une prescription adaptée à son patient, et de justifier l’action de chacune des plantes qui la compose. A un niveau de pratique inférieur, mais également admissible, figure le praticien qui ne prescrit occasionnellement que des formules toutes faites, mais néanmoins adaptées à des pathologies classiques, traditionnellement diagnostiquées.

La plupart des patients venant consulter en médecine chinoise souffrent de pathologies chroniques ou récurrentes, et sont de ce fait déjà médicalisés. Un praticien attentif vérifiera les traitements déjà pris par le patient, car cela peut considérablement modifier son propre diagnostic et ses choix thérapeutiques. D’une manière générale, il essaiera de s’adapter aux traitements déjà en cours afin de les compléter. S’il estime que certains traitements peuvent poser problème, il commencera par proposer au patient d’en parler à son médecin traitant, avant d’envisager leur suppression. Dans ce dernier cas, il ne le fait pas brutalement.


Tarifs

Attention ! Les tarifs d'une consultation sont extrêmement variables d'un praticien à l'autre. "Cela peut aller, en moyenne, de 20 € à 100 €, estime Philippe Sionneau. Rien de précis n'a été fixé en la matière." Et la médecine traditionnelle chinoise n'étant pas reconnue en France, inutile d'envoyer une éventuelle feuille de soins à la sécu : vous ne serez pas remboursé, sauf s'il s'agit d'une séance d'acupuncture par un médecin conventionné.

Le feeling, impondérable mais déterminant

La relation thérapeutique en médecine chinoise est une relation humaine. Alors pour nous aider à choisir un bon praticien, n’oublions pas une dernière chose, essentielle : l’instinct. Ce sens sert de boussole à tous les mammifères, et nous n’y faisons pas exception. L’instinct est un indicateur souvent fiable de ce qui peut être bon ou mauvais pour nous . Il y a des gens que l’on “ sent ”, et d’autres pas. Et qu’on le veuille ou non, beaucoup de choses découlent de ce premier ressenti.






Sources:

http://www.cedre-fr.org/praticien.htm
http://www.sionneau.com/index.php?page=mc
http://www.passeportsante.net/fr/Therapies/Guide/Fiche.aspx?doc=medecine_traditionnelle_chinoise_th
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Message par Etincelle de Lumière Mer 8 Sep 2010 - 13:31

Acupuncture :

Il n'est pas nécessaire d'utiliser des aiguilles pour agir sur les points d'acupuncture, les doigts sont tout aussi efficaces, en général peu douloureux et ultra rapides. Il faut en moyenne 40( souvent moins) à 80 secondes pour qu'un point réagisse.
La Médecine traditionnelle chinoise est une médecine énergétique, et on considère que l'Energie suit l'intention et on utilise (convention mentale du groupe qui le pratique) deux doigts précis pour tonifier et disperser.
Il est vrai que c'est une chose qui est expliquée dans certaines écoles d'acupuncture et sans doute pas dans le cursus prévu pour les médecins.
Pour ma part, cela m'a demandé un peu de temps avant de "sentir" un point réagir sous mes doigts, maintenant il suffit que je mette le doigt qui tonifie sur le point pour qu'il se remplisse où le doigt qui disperse pour qu'il se vide.
Cependant certains praticiens n'auront jamais ce ressenti mais utiliseront très bien les aiguilles car l'Intention est toujours présente dans l'acte de puncturation.
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Message par Orion Mer 8 Sep 2010 - 13:43

heuuu nan.... l'acuponcture est la stimulation de centre énergétique ( electrique ) physique sur le corps et il me semble que dés l'antiquité ces aiguilles étaient faite en cuivre, le matériaux n'avais pas été choisie sans raison ( également démontré par les plaques de Calligaris )
Sinon les stimulation faite avec les mains est appelé " acupréssion "
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Message par Dix Mer 8 Sep 2010 - 13:44

La technique dont tu parles s'appelle la digipressure et le praticien un digipresseur.

Caractéristiques
* origine: technique japonaisе fondée sur la médecine chinoise
* efficacité: stress, soulage les douleurs, détend et revitalise, guérit beaucoup de maux
* contre-indication: consultez un médecin avant de vous lancer
* précaution particulière: aucune, mais mieux vaut tout de même vérifier que le practicien est bien agréé, comme toujours

Un peu comme l'acupuncture, la digipressure aide à faire circuler les flots d'énergie en appuyant sur des points réflexes. A la seule différence que l'on n'utilise pas ici des aiguilles, comme en acupuncture, mais les doigts et plus particulièrement les pouces, dont le praticien se sert pour faire pression sur des points spécifiques.

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Dernière édition par candice.c le Mer 8 Sep 2010 - 13:52, édité 2 fois (Raison : Ajout lien source)
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Message par Etincelle de Lumière Mer 8 Sep 2010 - 14:15

Non, ce n'est pas ça.

Je n'exerce aucune pression quand j'utilise mes doigts : soit je les poses doucement sur le point (si je presse je ne sentirai pas le point se vider ou se gonfler) soit je peux tenir mon doigt à un centimètre du point car certaines localisations sont difficiles à atteindre ou trop douloureuses pour être "pressées" et le point sera quand même stimulé.
Ce dont je parle là est utilisé par des praticiens en acupuncture et je l'ai appris en 1ère année d'études d'acupuncture.

Source / Collège SFERE
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Message par Orion Mer 8 Sep 2010 - 14:55

Étymologiquement, le mot « acupuncture » dérive du mot latin « acus » qui veut dire « aiguille» et de « pungere » signifiant « piquer ». L'histoire de l'acupuncture lui confère une appartenance à la médecine traditionnelle chinoise


Les premiers indices relevant de l'acupuncture se situent à la période de l'âge de pierre (durant la dynastie Chang : du 16è au 11è siècle avant Jésus-Christ.) où, des aiguilles de bambou ou d'os serviraient au coulage du bronze. L'on y a retrouvé des traces telles que le « Nei Jing Su Wen » (recueil sur l'acupuncture), la technique de stimulation par la chaleur de points d'acupuncture par le biais du « moxa » (objet chauffant favorisant cette stimulation) appelée « moxibustion ». A cela s'ajoutent les massages, les drogues thérapeutiques, la gymnastique effectués de -500 à -220 durant la période des Royaumes combattants, en -206 avec la Dynastie Han ... Au fil du temps, les techniques de l'acupuncture traversèrent les époques, les civilisations, les continents et, au 17è siècle en Europe et plus précisément en 1679, l'on assista à l'introduction de cette forme de médecine traditionnelle chinoise, grâce au médecin Ten Rhyne, de la « Compagnie des Indes et Kæmpfer ». Au 18è siècle, ces mêmes techniques d'acupuncture furent consignées dans les recueils de Vicq d'Azyr et Dujardin. D'après certains écrits, ce serait Berlioz qui en 1810, aurait essayé l'acupuncture en France avant d'être suivi par d'autres médecins.

École ou pas, chaque mot à un sens precis et surtout une origine.
Les " écoles " modernes tentent d'adapter des rites souvent ancestraux aux plus grand nombre pour se faire un maximum de bénéfice.

Source: http://www.web-libre.org/dossiers/acupuncture,50.html
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Médecine chinoise traditionnelle : Qu'est-ce que c'est? Comment choisir son thérapeute? Empty Re: Médecine chinoise traditionnelle : Qu'est-ce que c'est? Comment choisir son thérapeute?

Message par le_chat_de_jade Mer 8 Sep 2010 - 16:36

Hello

j'avais crée un sujet sur le shiatsu..pratiqué traditionnellement au japon, c'est la version digital de l'acupuncture ressemble à l'acupressure.

Pour l'acupuncture j'ai déjà vu en vrai cette pratique, c'est assez impressionnant la longueurs des aiguilles et les instrument utilisé. Par contre il faut vraiment allé chez quelqu'un de former correctement, car cela peut être négatif pour plusieurs raisons mauvais positionnement des aiguilles et aussi si l'hygiène n'est pas correctement appliqué.

Sinon attention a trop transformer des pratiques elles peuvent perdre son efficacité et surtout leur sens.

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Message par Etincelle de Lumière Mer 8 Sep 2010 - 17:06

J'ai simplement mentionné une autre façon de pratiquer l'acupuncture.

Maintenant je peux piquer, poser des ventouses, utiliser des moxas ou pratiquer des tui na ou an mo ; tout cela fait partie de la formation pratique d'un praticien en acupuncture.
Je ne suis pas médecin j'ai donc choisi une école qui proposait une formation validante me paraissant de bonne qualité.



source : http://www.chenmen.com/
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Message par Hagel Mer 8 Sep 2010 - 17:15

On va faire simple, pour ce qui concerne ce forum, l'apucunture, la pratique de celle-ci sera défini comme de façon ancestrale, exclusivement avec les aguilles.

Pour les néocourants de médecine chinoises et autre je vous invite à ouvrir un nouveau post. Merci.
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Message par Orion Mer 8 Sep 2010 - 17:43

Attend Médecine chinoise traditionnelle : Qu'est-ce que c'est? Comment choisir son thérapeute? 724303
acupuncture = « acus » qui veut dire « aiguille» et de « pungere » signifiant « piquer », ce qui veut dire de manière direct, qu'il n'y a pas d'autre maniére de pratiquer que par les aiguilles.
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