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Les 6 Bardos selon Bouddha
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Les 6 Bardos selon Bouddha
La doctrine du Bouddha peut se résumer tout entière aux enseignements sur les six bardos. Un bardo est quelque chose qui est « entre-deux », un état intermédiaire. C'est une transition.
Bardo naturel de la vie présente
Il concerne le temps entre notre naissance et notre mort. C'est notre condition présente. Personne ne peut réfuter le fait que la vie est impermanente, que personne ne peut échapper à la mort. Dans ce bardo, nous avons la possibilité de pratiquer des actions positives et de cesser de commettre les moindres actions négatives : c'est dans cette condition humaine est seulement dans celle-ci que cela est possible. À ce titre nous pouvons contempler le bardo naturel de la vie présente comme l'expression de notre « précieuse vie humaine ». Le Dharma nous recommande de nous conduire comme si nous allions mourir demain et de façon à ce que nous n'ayons rien à regretter.
Bardo hallucinatoire du rêve
Il couvre le temps compris entre l'endormissement et notre prochain réveil. On considère que cette période est semblable à la mort et que seule la durée fait la différence. D'un rêve, ce que perçoit notre conscience est à la fois totalement imaginaire et faux. Nos perceptions sont totalement tournées vers l'illusion. Notre ignorance karmique manifeste totalement son effet là encore.
Le Dharma nous enseigne que nos rêves, le lieu privilégié de nos illusions, ne sont pas plus réelles que notre vie éveillée que nous tenons pour si réelle. Le Dharma nous enseigne que ni nos rêves ni notre perception éveillée de la qualité ne correspondent à une quelconque réalité. Rien n'est permanent, tout disparaît : il en est ainsi dans notre vie relative et dans nos rêves. Cette pratique est d'une redoutable efficacité pour traiter la réalité de l'impermanence.
Bardo de l'absorption méditative
Il s'agit du temps passé dans la méditation. Le Dharma distingue cet état car il ne correspond pas à notre état mental ordinaire, qu'il s'agisse de nos pensées erronées ou de la perception des phénomènes. Cet état de méditation, un état de non-distraction, est un moment de grande stabilité mentale.
Bardo douloureux de la mort
Tôt ou tard, la mort sera proche et, au moins à partir de ce moment, dans cette conscience de la fin, nous commencerons à concevoir que bien des choses accomplies dans notre vie n'ont en fait pas la moindre utilité.
Par ailleurs, mourir, c'est tout abandonner derrière nous : nos richesses, nos amis, nos ennemis, nous souvenir...
Cependant, si nous nous sommes entraînés au transfert de la conscience, et que nous maîtrisons cette méthode, à la condition de parvenir à mourir sans l'ombre d'un regret, il peut être possible d'atteindre des Terres Pures. Il est possible de transporter sa conscience. Au moment exact de la mort, cela peut se faire à l'aide d'un maître spirituel ou d'un pratiquant accompli.
Il existe des descriptions assez précises de ce qui se passe juste avant de mourir d'un point de vue des perceptions de celui qui meurt. En particulier il existe un moment très bien identifié où la conscience se dissout dans la Claire Lumière. Si nous sommes capables de reconnaître cette « claire lumière » nous connaîtrons alors la Libération. La méditation constitue un moyen de se préparer à cette reconnaissance.
Bardo lumineux du réel
On l'appelle aussi le « cinquième bardo ». Il fait suite aux bardo douloureux de la mort : revenu de cette « dissolution », des déités nous apparaissent paisibles ou courroucées. Tous ceux qui ne sont pas préparés par la pratique sont incroyablement terrifiés par ces visions.
Bardo karmique du devenir
Dans ce dernier bardo, l'esprit et le corps se séparent. Le corps physique a disparu et il ne subsiste qu'un corps très subtil. Il est dit que l'esprit du mort perçoit pendant un certain temps des choses du monde des vivants.
La période dans ce bardo dure 49 jours. Globalement les trois premières semaines, le mort possède des perceptions comparables à celles qu'il avait quand il vivait. C'est aussi au cours de cette période que, si le mort a accumulé énormément de mérites, sa renaissance n'aura pas lieu dans les royaumes inférieurs car dirigée par la compassion des Trois Joyaux. En fait, les pratiquants du Dharma et grands pratiquants peuvent se rendre compte qu'ils sont morts, savoir où ils se trouvent et agir en conséquence.
Source : http://www.jesusandbuddha.com/editing/essais/bouddhisme/les-bardos.htmlBardo naturel de la vie présente
Il concerne le temps entre notre naissance et notre mort. C'est notre condition présente. Personne ne peut réfuter le fait que la vie est impermanente, que personne ne peut échapper à la mort. Dans ce bardo, nous avons la possibilité de pratiquer des actions positives et de cesser de commettre les moindres actions négatives : c'est dans cette condition humaine est seulement dans celle-ci que cela est possible. À ce titre nous pouvons contempler le bardo naturel de la vie présente comme l'expression de notre « précieuse vie humaine ». Le Dharma nous recommande de nous conduire comme si nous allions mourir demain et de façon à ce que nous n'ayons rien à regretter.
Bardo hallucinatoire du rêve
Il couvre le temps compris entre l'endormissement et notre prochain réveil. On considère que cette période est semblable à la mort et que seule la durée fait la différence. D'un rêve, ce que perçoit notre conscience est à la fois totalement imaginaire et faux. Nos perceptions sont totalement tournées vers l'illusion. Notre ignorance karmique manifeste totalement son effet là encore.
Le Dharma nous enseigne que nos rêves, le lieu privilégié de nos illusions, ne sont pas plus réelles que notre vie éveillée que nous tenons pour si réelle. Le Dharma nous enseigne que ni nos rêves ni notre perception éveillée de la qualité ne correspondent à une quelconque réalité. Rien n'est permanent, tout disparaît : il en est ainsi dans notre vie relative et dans nos rêves. Cette pratique est d'une redoutable efficacité pour traiter la réalité de l'impermanence.
Bardo de l'absorption méditative
Il s'agit du temps passé dans la méditation. Le Dharma distingue cet état car il ne correspond pas à notre état mental ordinaire, qu'il s'agisse de nos pensées erronées ou de la perception des phénomènes. Cet état de méditation, un état de non-distraction, est un moment de grande stabilité mentale.
Bardo douloureux de la mort
Tôt ou tard, la mort sera proche et, au moins à partir de ce moment, dans cette conscience de la fin, nous commencerons à concevoir que bien des choses accomplies dans notre vie n'ont en fait pas la moindre utilité.
Par ailleurs, mourir, c'est tout abandonner derrière nous : nos richesses, nos amis, nos ennemis, nous souvenir...
Cependant, si nous nous sommes entraînés au transfert de la conscience, et que nous maîtrisons cette méthode, à la condition de parvenir à mourir sans l'ombre d'un regret, il peut être possible d'atteindre des Terres Pures. Il est possible de transporter sa conscience. Au moment exact de la mort, cela peut se faire à l'aide d'un maître spirituel ou d'un pratiquant accompli.
Il existe des descriptions assez précises de ce qui se passe juste avant de mourir d'un point de vue des perceptions de celui qui meurt. En particulier il existe un moment très bien identifié où la conscience se dissout dans la Claire Lumière. Si nous sommes capables de reconnaître cette « claire lumière » nous connaîtrons alors la Libération. La méditation constitue un moyen de se préparer à cette reconnaissance.
Bardo lumineux du réel
On l'appelle aussi le « cinquième bardo ». Il fait suite aux bardo douloureux de la mort : revenu de cette « dissolution », des déités nous apparaissent paisibles ou courroucées. Tous ceux qui ne sont pas préparés par la pratique sont incroyablement terrifiés par ces visions.
Bardo karmique du devenir
Dans ce dernier bardo, l'esprit et le corps se séparent. Le corps physique a disparu et il ne subsiste qu'un corps très subtil. Il est dit que l'esprit du mort perçoit pendant un certain temps des choses du monde des vivants.
La période dans ce bardo dure 49 jours. Globalement les trois premières semaines, le mort possède des perceptions comparables à celles qu'il avait quand il vivait. C'est aussi au cours de cette période que, si le mort a accumulé énormément de mérites, sa renaissance n'aura pas lieu dans les royaumes inférieurs car dirigée par la compassion des Trois Joyaux. En fait, les pratiquants du Dharma et grands pratiquants peuvent se rendre compte qu'ils sont morts, savoir où ils se trouvent et agir en conséquence.
Inooka- Recherche de la maîtrise des énergies
- Nombre de messages : 417
Pratiques magiques/ spiritualité : Magnétisme, méditation, astrologie, lithothérapie, tarot, radionique
Re: Les 6 Bardos selon Bouddha
Absolument pas !La doctrine du Bouddha peut se résumer tout entière aux enseignements sur les six bardos.
Tout d'abord, le mot Bardö est tibétain, et était totalement inconnu de Bouddha. Non seulement il ne le connaissait pas, mais je ne lui connais aucun équivalent en pâli, et il est plus que probable que ce concept lui ait été totalement étranger.
Il est sans doute l'une des personnes les plus au fait des différents états de conscience, mais il ne les a jamais aplatie de la sorte, ou comparé et mis les uns à coté des autres.
Il manque l'état de sommeil sans rêve, bien connu des théoriciens indiens et tibétain de la conscience. Le troisième bardo présenté ici est ce que Bouddha nomme "Samadhi", mais sans jamais le considérer comme un état de conscience comparable aux autres, on l'englober dans une catégorie comprenant aussi éveil, rêve et sommeil.
Les trois derniers bardö présentés ici me semblent totalement extérieur à la pensée de Bouddha.
Ce dont tu parles est en fait le Bouddhisme tantrique, pratiqué au Tibet. Il est le fruit d'une très longue évolution, et n'a pas atteint cet état avant au moins 2000 ans après la mort de Bouddha.
Mais même au sein du bouddhisme tibétain, dire de la doctrine des bardö qu'elle est le coeur de l'enseignement... Non. Non, c'est vraiment déplacé.
Le bouddhisme a toujours été une éthique. Les psychologies mystiques n'en sont que des annexes.
Parasamgate- Energie libre
- Nombre de messages : 15
Pratiques magiques/ spiritualité : méditation, théorie
Re: Les 6 Bardos selon Bouddha
Sachant que le bouddhisme dans son développement est sérieusement inspiré des traditions précédentes dont le Bö (chamanisme tibétain)...il ne faudrait pas non plus exclure les différentes acculturations du bouddhisme, et le bouddhisme surtout ne se limite pas à Bouddha et plus rien d'autres. Diverses traditions bouddhiques présentent plusieurs Bouddhas.le mot Bardö est tibétain, et était totalement inconnu de Bouddha
Ouaouh. C'est ne pas comprendre le rôle du spirituel et du religieux, si le mystique est une annexe pour toi, il est propre à chaque cheminement, et le bouddhisme est un cheminement (atteindre le nirvana ne sert pas à la déco et est un chemin mystique).Les psychologies mystiques n'en sont que des annexes
Cordialement, Hagel
Re: Les 6 Bardos selon Bouddha
Seul le bouddhisme tibétain c'est inspiré du Bön ! Et encore, l'inverse est plus facile à affirmer, puisque le Bön est aujourd'hui une religion reconstruite extrêmement inspiré du bouddhisme.
A l'époque de Bouddha, le Tibet n'était rien, n'avait strictement aucune influence sur le monde, et aucune singularité spirituelle. Il est inconcevable que Bouddha, depuis l'est du bassin gangétique, ait été par quelques croyances chamaniques pratiqués au sommet de l'Himalaya.
De toute manière, même au Tibet, le concept de Bardo n'existait pas encore. Il n'y est apparu que via le Bardö Thödol, une fois le bouddhisme bien installé, et près de 1800 ans après la mort de Bouddha.
D'où ma juste opposition à l'idée selon laquelle "La doctrine du Bouddha peut se résumer tout entière aux enseignements sur les six bardos" !
On peut même rajouter que ce concept est loin d'être répandu dans toutes la tradition tibétaine. Je suis à peu près sûr que les sarmapa (80% des tibétains au moins) n'y font jamais appel.
Je maintiens ma position (qui est aussi la tienne) : le bouddhisme est avant tout un chemin de vie (mystique ou non). La théorie tibétaine des états-intermédiaires et autres élaborations descriptives n'en sont... que des annexes.
A l'époque de Bouddha, le Tibet n'était rien, n'avait strictement aucune influence sur le monde, et aucune singularité spirituelle. Il est inconcevable que Bouddha, depuis l'est du bassin gangétique, ait été par quelques croyances chamaniques pratiqués au sommet de l'Himalaya.
De toute manière, même au Tibet, le concept de Bardo n'existait pas encore. Il n'y est apparu que via le Bardö Thödol, une fois le bouddhisme bien installé, et près de 1800 ans après la mort de Bouddha.
Je n'ai pas dit le contraire (quoi que les "autres bouddha" n'ont aucune existence historique). Seulement, le concept de Bardö est présent uniquement dans la branche tibétaine, tardive et minoritaire, et est totalement absent des branches méridionale et extrême-orientale..il ne faudrait pas non plus exclure les différentes acculturations du bouddhisme, et le bouddhisme surtout ne se limite pas à Bouddha et plus rien d'autres. Diverses traditions bouddhiques présentent plusieurs Bouddhas.
D'où ma juste opposition à l'idée selon laquelle "La doctrine du Bouddha peut se résumer tout entière aux enseignements sur les six bardos" !
On peut même rajouter que ce concept est loin d'être répandu dans toutes la tradition tibétaine. Je suis à peu près sûr que les sarmapa (80% des tibétains au moins) n'y font jamais appel.
Je n'ai pas dit "la mystique" ou "le mysticisme", j'ai dit "la psychologie mystique" (c'est "psychologie" le mot qu'il fallait retenir, le substantif, "mystique" n'est ici que son épithète). En d'autres mots : les spéculations descriptives et surnaturalisantes sur la conscience.Ouaouh. C'est ne pas comprendre le rôle du spirituel et du religieux, si le mystique est une annexe pour toi, il est propre à chaque cheminement, et le bouddhisme est un cheminement (atteindre le nirvana ne sert pas à la déco et est un chemin mystique).
Je maintiens ma position (qui est aussi la tienne) : le bouddhisme est avant tout un chemin de vie (mystique ou non). La théorie tibétaine des états-intermédiaires et autres élaborations descriptives n'en sont... que des annexes.
Parasamgate- Energie libre
- Nombre de messages : 15
Pratiques magiques/ spiritualité : méditation, théorie
Re: Les 6 Bardos selon Bouddha
merci, je sais lire, et je connais les règles du français, commence par essayer d'éviter de nous prendre pour des abrutis parce que ça me gave sérieusement ce genre d'attitude.c'est "psychologie" le mot qu'il fallait retenir, le substantif, "mystique" n'est ici que son épithète
l'ampleur des branches religieuses, des acculturations qu'elles prennent, ne se résume pas à un dogme unique, et tu es parfaitement d'accord avec moi.A l'époque de Bouddha, le Tibet n'était rien, n'avait strictement aucune influence sur le monde, et aucune singularité spirituelle. Il est inconcevable que Bouddha, depuis l'est du bassin gangétique, ait été par quelques croyances chamaniques pratiqués au sommet de l'Himalaya.
On ne peut pas parler d'un bouddhisme originel à partir de récits vieux de milliers d'années, car il n'y a pas de bouddhisme originel, comme il n'y a pas de chrétienneté originel, ni de judaïsme originel and co.
Faut que j'aille ressortir les dernières découvertes historiques sur cette tradition religieuse chamanique qui montrent qu'elle est clairement pré-existente au bouddhisme?Et encore, l'inverse est plus facile à affirmer, puisque le Bön est aujourd'hui une religion reconstruite extrêmement inspiré du bouddhisme.
Une religion ne sort jamais du néant, ni d'un fondement de base dans une société, de même même si elle se construit sur un ou plusieurs hommes, ils ne sont que le symbolisme des courants dogmatiques qu'elle véhicule, elle est protéiforme, elle évolue en permanence, fruit des sociétés qu'elle traverse.
Re: Les 6 Bardos selon Bouddha
Ne vous sentez pas offensé par la moindre contradiction !merci, je sais lire, et je connais les règles du français, commence par essayer d'éviter de nous prendre pour des abrutis parce que ça me gave sérieusement ce genre d'attitude.
Par ta réponse, tu traitais ma phrase comme si "mystique" était le substantif, ce qui a amené un effroyable malentendu. Il n'y a rien de mal à ça, tout le monde lit parfois de travers, et je n'échappe pas à la règle. Ma précision servait uniquement à éclaircir les choses pour chasser toute ambiguïté.
Ayant un grand nombre de texte ancien, permettant une certaine objectivité par leur comparaison puisqu'issue d'écoles déjà divisées, je pense qu'il est possible de parler, avec prudence, d'un "bouddhisme originel".
Je ne dis pas que le Bouddhisme de Bouddha exclu tous les développements qu'on connu les différentes branches du bouddhisme, elles ont aussi leur valeur propre.
A propos du Bön : bien sûr qu'il y avait des religions au Tibet avant le bouddhisme, et peut-être même portaient-elle déjà le nom de Bön. Mais on ne sait à peu près rien d'elles, et le Bön actuel est calqué sur le bouddhisme nyingmapa et n'est de toute évidence pas le "chamanisme ancestrale" du Tibet.
Mais tout cela est hors-sujet. Bouddha n'avait jamais entendu parlé de "bardö", et même au sein du très tardif bouddhisme tibétain, il reste d'importance plutôt secondaire.
C'est tout ce qu'il y a à dire dans le cadre de ce sujet.
Parasamgate- Energie libre
- Nombre de messages : 15
Pratiques magiques/ spiritualité : méditation, théorie
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